Un matin le chagrin efface la colère,
Et le manque de l'autre revient, douloureusement,
Comme un morceau de soi qu'on a laissé derrière,
Une blessure ouverte, un mal lancinant…
En boucle le passé devient obsessionnel,
Le besoin de l'absent juste pour respirer,
Les souffrances oubliées, l'amour irrationnel
En feu jamais éteint brûle la volonté.
Incontrôlable flamme en défi aux promesses
Trouble le corps et l'âme, vit toujours dans le cœur,
Installe les remords, rêve encore de caresses
Mais garde ses désirs enfouis en profondeur.
L'espoir reste secret, nostalgie dans les veines
D'une passion intacte, émotions en torrent,
Déferlent en l'être entier et aux regrets l'enchaînent,
L'empêchent d'ailleurs aimer et de vivre au présent.
Écrit par Axelle14
Carpe diem !
"Le poète ne vit pas tout ce qu'il écrit... Mais tout ce qu'écrit le poète prend vie" Catégorie : Amour
Publié le 25/05/2012
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Commentaires
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Posté le 26/05/2012 à 07:54:59
Jamais amie, ne s'estompera le souvenir de l'autre enfui, te restent tes mots sublimes pour évoquer ce manque et, le désarroi qu'il génère, t'embrasse. | |
platon |