De tes gestes alanguis par ton serment qui m'honore,
Se connectent à la vie nos toiles filantes vers l'aurore.
Mourir de joie et vivre de toi-même ici et de partout,
Sacrifice de ma gêne suffisamment fou de vous.

De tes doigts adroits tissant le châle d'un sentiment,
Se pliant à ces âmes sœurs sur leur visage d'enfant.
Unicité d'une trame arrivée vers la fin d'une histoire,
Ouverture d'un art occulte par votre nouveau départ.

Et de sa chaleur s'inhale l'odeur de nos promesses,
Illustrés par l'espoir, l'esprit de vos carresses.
Tant le monde a changé et personne ne le vu,
Moi même je pense trouver une personne méconnue.