Le vent
Souffle,
Sur la mer
Qui souffre.
La plage,
Déserte
Résonne du bruit des vagues
Si belles.
La mer monte
Doucement,
La mer monte,
Si lentement.
Mes cheveux volent au vent,
Mes yeux suivent les vagues,
Mon corps hurle dans l'âme
Et mes larmes coulent dans le temps.
Témoins silencieux
De mon désespoir,
Votre douceur naturelle
Me touche l'âme.
La balade,
Est fini,
Et dans le creux de ma main,
Je rassemble
L'écho des vagues
Et les soupirs du vent,
Avant de partir,
Si loin,
Auprès de mes souvenirs...
Écrit par Ary
La femme est une pensée, la plus forte de la nature, mais c'est une pensée dansante.
(Jacques Prévert) Catégorie : Divers
Publié le 17/05/2009
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Commentaires
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Posté le 17/05/2009 à 20:19:22
quelle force infinie et fascinante dans tes merveilleuses lignes merci a te lire amitiés*** | |
1958 |