Une douleur cachée derrière un sourire,
Et ce bonheur qui ne semble jamais vouloir revenir,
Un amour où je me suis perdue à écrire,
Un amour dont je n'ai toujours pas trouvé le courage de te dire.
Je sens des braises brûler en moi,
Qui ne sont en faite qu'une partie de toi,
Qui s'est imposée dans mon cœur sous son toit ,
Et qui règne déjà depuis des mois,
Mais ça ne peut plus durer comme ça, je tombe,
Sous le poids de cet amour mon corps s'effondre,
Sous les larmes qui coulent en moi mon cœur s'inonde,
Et ma raison impuissante ne peut qu'observer cette hécatombe.
La vie est donc faite ainsi,
Sans le savoir ni le vouloir tu me détruis,
Et dans un dernier souffle je te crie,
Je t'aime, ouvre les yeux je t'en supplie.
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Écrit par Arnib
« C’est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l’écoute pas. »
Victor Hugo Catégorie : Amour
Publié le 19/05/2011
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Commentaires
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Posté le 19/05/2011 à 19:36:54
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très beau poème ! |
Jonathan ![]() |