Il y a de ces pleurs qui nous tuent
Comme ceux de cet enfant apeuré
Seul, sans espoir
Seul, sans avenir
Il y a de ces berceuses qui font pleurer
Puretés nostalgiques
Celles rapellant la paix
Le confort avant le chaos
Il y a de ces épaules musclées
À force de s'être crispées
Seules, sans le doux toucher
D'une accolade tant rêvée
Ce fut le rêve d'un enfant
Cet enfant jadis opprimé
L'enfant à jamais ignoré
L'enfant de tous les tourments
L'enfant fut homme ne le sachant
L'homme redevint enfant, se perdant
Notre monde restant niait
L'homme pria pour sa paix
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Écrit par Altair
Memento Mori Car Cette Plume de Sang Et De Larme Le Sait
Catégorie : Triste
Publié le 14/05/2024
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Commentaires
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Posté le 16/05/2024 à 17:00:03
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Lys-Clea ![]() |