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Compter les jours dans son salon
Buvant le thé, méprisant la télévision
Sert à mal digérer
L'exaspération de notre société
Son enlisement perdant nos rêves
Chaque ouvrier se doit d'y laisser
Rien de moins qu'un courage enragé
Puis de se bâtir une grève
Nos chers médias et leurs vérités
Pesant, tout haut de nos sabots
Nous faisant s'entre-déchirer
Questionnant ce que l'on vaut
Chantons la Ravachole
Pour qu'enfin le son des explosions
Enterre celui des grands patrons
Surpassons la Ravachole
Vive le son des vils en prison
Vive le bruit de leur cage en carton
Que le feu illumine pour notre soir
Le seul soir où enfin s'assoupir
Symbolisera la préparation d'un désir
Celui que l'ouvrier ne pouvait croire
La Ravachole pour ce soir
Quel grand soir!
Écrit par Altair
Memento Mori Car Cette Plume de Sang Et De Larme Le Sait
Catégorie : Divers
Publié le 29/04/2014
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Commentaires
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Posté le 29/04/2014 à 00:34:56
Merci pour la manifestation critique que revendique ce poème. Grand Soir, pas mort ! Cordialement. |
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jacou |
Posté le 29/04/2014 à 06:42:01
L'Allégorie de la carmagnole me séduit..cette révolte est belle et vos mots frappent juste! belle journée. | |
Abdel |