Et tu fus la première par laquelle j'ai cru,
que l'amour se trouvait ailleurs que dans les livres,
et j'ai mieux su trouver ses couleurs écrues,
sous l'ombre de Platon qu'en des corps qu'on délivre.
Et tu fus la première qui me fit découvrir,
la chaleur du soleil lorsqu'on baisse le voile,
la froideur d'un portail qu'on ne peut pas ouvrir,
la grandeur d'une nuit éclairée des étoiles.
Et tu fus la première à apparaitre encore,
dans mes songes qui prennent des allures de promesses,
et pour bénir ton rire sonnant comme un accord,
je prononce ton nom comme l'on dit la messe.
Si les chemins du coeur peuvent être hasardeux,
je ne sais plus pourquoi mais tu fus la première,
et s'il est des secrets qu'on peut garder pour deux,
j'ignore encore pourquoi tu seras la dernière.
Écrit par Alexandre-glaucos
Lilith et Psyché se disputent mon âme .
Blog de timeotiange ( pas le mien mais c'est important ! ) Catégorie : Divers
Publié le 15/05/2009
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j'aime vraiment :)! bravo! | |
ShadyLanne |
Beau poème!! | |
Michka |
.. Beau message. Oui elle sera la dernière pour laquelle tu auras ressentis un tel sentiment, parce qu'il est unique. Et qu'il a le goût de la première fois. C'est sûr qu'on ne peut aimer deux fois de la même façon. Mais après... l'amour se transforme, et je pense que tu aimeras d'autres personnes, sous un jour différent. Tout ne s'arrête pas là.. |
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Alphaa |
Bref la seule et unique, quoi ! J'aime beaucoup la 2ième strophe ! Bises ;) |
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Nighty |
Bravo, j'aime comment tu exprimes cette fatale réalité. Amitiés |
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corbeau |