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Commentaires
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Posté le 18/04/2014 à 17:24:31
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années. Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir. J'écoutais les fables de ma grand-mère ridée - rêve enfantin -, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe, et le bon café, Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde. Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes, Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus, Marri je m'en retourne en cet heureux oubli, C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus, Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit. Peu à peu, monte en moi cette force héréditaire, Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand-Mère. Sa peau ridée, douce comme l'oreiller Chaud du matin sur la joue reposée Me rappelle les moments partagés, là assis à l'écouter parler De sa vie. Ses souvenirs, ses amours de princesse et de cerf-volant, (Je propose les corrections ci-dessus, à vous de confirmer) Sa tendresse me sont un assez sûr garant Que tout ce qu'elle me dit, de son ton rassurant, Ne sont vaines paroles effacées par le temps, Mais des perles d'espoir, baume réconfortant. Et si ce temps insiste, en ma mémoire persiste Suis heureux s'il résiste, toute la vie m'assiste. |
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scyles |
Posté le 18/04/2014 à 20:33:56
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années. Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir. J'écoutais les fables de ma grand-mère ridée - rêve enfantin -, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe, et le bon café, Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde. Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes, Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus, Marri je m'en retourne en cet heureux oubli, C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus, Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit. Peu à peu, monte en moi cette force héréditaire, Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand-Mère. Sa peau ridée, douce comme l'oreiller Chaud du matin sur la joue reposée Me rappelle les moments partagés, là assis à l'écouter parler De sa vie. Ses souvenirs, ses amours de princesse et de cerf-volant, (Je propose les corrections ci-dessus, à vous de confirmer) ..... (et en faisant: "...à l'écouter parler, Sa vie,ses souvenirs...???qu'en pensez vous cher Scyles?!! Mais comme le coeur vous en semble le plus doux à vos oreilles, pour moi cela conviendra.) Sa tendresse me sont un assez sûr garant Que tout ce qu'elle me dit, de son ton rassurant, Ne sont vaines paroles effacées par le temps, Mais des perles d'espoir, baume réconfortant. Et si ce temps insiste, en ma mémoire persiste Suis heureux s'il résiste, toute la vie m'assiste. Et aujourd'hui encore Ces souvenirs je redorent, Au creux de l'âtre noir de fumée, Les flammes dansent un second souffle. Grand-Mère n'est plus |
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Amicalmentvotre |
Posté le 10/07/2014 à 00:51:16
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années. Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir. J'écoutais les fables de ma grand-mère ridée - rêve enfantin -, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe, et le bon café, Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde. Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes, Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus, Marri je m'en retourne en cet heureux oubli, C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus, Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit. Peu à peu, monte en moi cette force héréditaire, Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand-Mère. Sa peau ridée, douce comme l'oreiller Chaud du matin sur la joue reposée Me rappelle les moments partagés, là assis à l'écouter parler De sa vie. Ses souvenirs, ses amours de princesse et de cerf-volant, (Je propose les corrections ci-dessus, à vous de confirmer) ..... (et en faisant: "...à l'écouter parler, Sa vie,ses souvenirs...???qu'en pensez vous cher Scyles?!! Mais comme le coeur vous en semble le plus doux à vos oreilles, pour moi cela conviendra.) Sa tendresse me sont un assez sûr garant Que tout ce qu'elle me dit, de son ton rassurant, Ne sont vaines paroles effacées par le temps, Mais des perles d'espoir, baume réconfortant. Et si ce temps insiste, en ma mémoire persiste Suis heureux s'il résiste, toute la vie m'assiste. Et aujourd'hui encore Ces souvenirs je redorent, Au creux de l'âtre noir de fumée, Les flammes dansent un second souffle. Grand-Mère n'est plus Mais l'odeur de ses confitures et de sa tendresse demeure Plus forte que le carbone qui oxyde ma vie Elle est le souffle nostalgique et vivant qui m'effleure Quand le doute m'exangue jusqu'à la survie |
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Lucyline |
Posté le 23/05/2020 à 15:11:23
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années. Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir. J'écoutais les fables de ma grand-mère ridée - rêve enfantin -, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe, et le bon café, Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde. Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes, Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus, Marri je m'en retourne en cet heureux oubli, C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus, Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit. Peu à peu, monte en moi cette force héréditaire, Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand-Mère. Sa peau ridée, douce comme l'oreiller Chaud du matin sur la joue reposée Me rappelle les moments partagés, là assis à l'écouter parler De sa vie. Ses souvenirs, ses amours de princesse et de cerf-volant, (Je propose les corrections ci-dessus, à vous de confirmer) ..... (et en faisant: "...à l'écouter parler, Sa vie,ses souvenirs...???qu'en pensez vous cher Scyles?!! Mais comme le coeur vous en semble le plus doux à vos oreilles, pour moi cela conviendra.) Sa tendresse me sont un assez sûr garant Que tout ce qu'elle me dit, de son ton rassurant, Ne sont vaines paroles effacées par le temps, Mais des perles d'espoir, baume réconfortant. Et si ce temps insiste, en ma mémoire persiste Suis heureux s'il résiste, toute la vie m'assiste. Et aujourd'hui encore Ces souvenirs je redorent, Au creux de l'âtre noir de fumée, Les flammes dansent un second souffle. Grand-Mère n'est plus Mais l'odeur de ses confitures et de sa tendresse demeure Plus forte que le carbone qui oxyde ma vie Elle est le souffle nostalgique et vivant qui m'effleure Quand le doute m'exangue jusqu'à la survie Ma grand mère avait deux grandes passions Chanter et faire des sorties en plein air Elle se rendait à pied jusqu'à son Val fleuri Entourée de voisines grands enfants et petits Depuis la Médina et ses murailles on pouvait entendre Le Mawal qu'elle entamait à son arrivée |
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Yuba |
Posté le 24/05/2020 à 09:36:32
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années. Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir. J'écoutais les fables de ma grand-mère ridée - rêve enfantin -, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe, et le bon café, Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde. Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes, Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus, Marri je m'en retourne en cet heureux oubli, C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus, Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit. Peu à peu, monte en moi cette force héréditaire, Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand-Mère. Sa peau ridée, douce comme l'oreiller Chaud du matin sur la joue reposée Me rappelle les moments partagés, là assis à l'écouter parler De sa vie. Ses souvenirs, ses amours de princesse et de cerf-volant, (Je propose les corrections ci-dessus, à vous de confirmer) ..... (et en faisant: "...à l'écouter parler, Sa vie,ses souvenirs...???qu'en pensez vous cher Scyles?!! Mais comme le coeur vous en semble le plus doux à vos oreilles, pour moi cela conviendra.) Sa tendresse me sont un assez sûr garant Que tout ce qu'elle me dit, de son ton rassurant, Ne sont vaines paroles effacées par le temps, Mais des perles d'espoir, baume réconfortant. Et si ce temps insiste, en ma mémoire persiste Suis heureux s'il résiste, toute la vie m'assiste. Et aujourd'hui encore Ces souvenirs je redorent, Au creux de l'âtre noir de fumée, Les flammes dansent un second souffle. Grand-Mère n'est plus Mais l'odeur de ses confitures et de sa tendresse demeure Plus forte que le carbone qui oxyde ma vie Elle est le souffle nostalgique et vivant qui m'effleure Quand le doute m'exangue jusqu'à la survie Ma grand mère avait deux grandes passions Chanter et faire des sorties en plein air Elle se rendait à pied jusqu'à son Val fleuri Entourée de voisines grands enfants et petits Depuis la Médina et ses murailles on pouvait entendre Le Mawal qu'elle entamait à son arrivée Et c'est un jour d'automne, tandis qu'elle chantait, Qu'un homme en complet bleu s'est alors présenté. Il avait les yeux verts et les dents qui brillaient. Il écoutât longtemps ma grand-mère psalmodier... Et quand le soir tombât, lui donna son gilet Et la raccompagnât jusqu'à sa maisonnée. Elle lui dit de rester, d'allumer la télé... Ensemble ils partagèrent le tout dernier café. |
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Etienne de Mirage |
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