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Commentaires
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Posté le 29/05/2018 à 09:44:13
aucune honte mais le sentiment que chaque poeme est un defi a relever, parfois reussi souvent rate et qu'il faut sans cesse recommencer et sans cesse s'ameliorer
banniange-deleted
Posté le 29/05/2018 à 16:53:12
c'est vrai!et je trouve que c'est tres stimulant!!mais aussi frustrant quand on est un peu perfectionniste,on reve de la poesie ideale..et du coup,on est jamais pleinement satisfait..c'est aussi ,en poussant plus loin,une recherche d'absolu??,
Aria
Posté le 29/05/2018 à 18:19:10
Aucune honte a ecrire ce qui vient pourquoi avoir honte ?...une fois que c'est ecrit je n'y pense plus d'ailleurs car le poeme ne m'appartient plus et je pense deja au suivant ou plutot le suivant se manifeste a moi...
Yuba
Posté le 29/05/2018 à 23:10:13
Un peu de fierte, un peu de honte ..
Eleidora
Posté le 02/10/2019 à 03:04:10
L''heure me semble grave. Je crois délirer parfois lorsque je suis là à jouer d'assonances et de ritournelles.
Je reste figé pourtant dans le temps, accroché à des lubies qui me protègent des autres et de moi-même.
J'aimerais pouvoir continuer à écrire, mais je suis complètement exténué de mes voyages.
Les gens de mon entourage se sont rendus compte que je n'aime pas du tout compter, et ils se lancent dans les calculs les plus inouits et invraisemblables, et à cet instant, je vous jurerais qu'ils le font exprès.
Ah! Que dire de plus. Je dois m'arrêter ici. J'espère pouvoir me reposer bientôt, et par là retrouver le goût pour la poésie, parfois si nécessaire à la vie.
Weedja
Posté le 17/07/2020 à 16:53:52
Je lis vos messages et je vais vous dire ceci. J'écris depuis l'âge de sept ans, initié par une dame polonaise, mais maniant le français comme jamais !
Écrits sous mon nom, mes productions poétiques ont été qualifiées de tous les vocables, alors j'ai bossé et fait le dos rond !Mon fils passant par là, m'a dit un jour, reprend ce vieux sonnet et baptise-toi " GAULLEDESTAINS " puis participe au concours de poésie et figurez-vous que l'on m'a désigné premier !
Je n'ai plus écrit pendant quatre ans suite à cela tant j'étais écœuré par ces
façons de faire, qui m'ont toujours fait redouter la véracité de la qualité des modérateurs !
Banane
Posté le 17/07/2020 à 20:42:59
Je n'aimais pas nombre de mes poèmes, il y a quelques années. Je ne réfléchis plus, ce n'est plus une question d'apprécier, mais de soulagement à la fin de l'écriture.

Puis quand les mots ne viennent pas aussi beaux que les images en tête, je me dis qu'il y a une émotion particulière dans ce que j'ai couché, éprouvée à un moment, valant d'être figée en mots comme une photo capte les ombres et la lumière.

J'ai comme Banane mes périodes, parfois je suis incapable d'écrire. Y revenir m'apaise beaucoup.

Plus le temps avance, plus j'ai envie d'être qui je suis sans me soucier de ce que les autres pensent. Même de le partager. Sans honte aucune
creature
Posté le 17/07/2020 à 23:06:48
Le sentiment de gêne ou de honte est naturellement normal, face au regard, à l'opinion, à la critique de l'autre. Il faut savoir, pouvoir dépasser ces écueils et si on les dépasse, on assume ce que l'on fait. Et si vous avez en vous la conviction, la certitude par le travail d'écriture accompli d'être Poète ou Écrivain Poète, soyez-en fier !
CRO-MAGNON
Posté le 18/07/2020 à 07:49:52
je n'ai pas honte
j'en suis fière
et vogue la galère
marinette
Posté le 18/07/2020 à 14:59:15
Avec trois livres à mon actif non.
Intruder
Posté le 18/07/2020 à 18:32:52
En avoir Honte ?

Que Nenni !!
Douter parfois, okay ! Mais pas d'avoir Honte de créer des Beautés, des Ressentis, des Œuvres pour Autrui ..

La Poésie est un Univers où l'On se donne Pleinement, Corps et Ame .. Tous les Sentiments, toutes les Couleurs, toutes sortes de Mots y fleurissent suivant nos Inspirations ..

Lys..
Lys-Clea
Posté le 19/07/2020 à 20:42:17
Je n'ai point de honte puisque la poésie est pour moi une action de grâce et elle permet une existence apaisée, alors pourquoi la honte s'inviterait-elle, si ce n'est dans les instants où je ne me montre pas à la hauteur de l'inspiration voulue ? Mais ce n'est pas de la honte alors, plutôt du tracas.
jacou
Posté le 30/08/2021 à 10:26:53
Je ressens cette honte, merci Jacou d'en avoir parlé, je me pensais la seule dans ce cas et je me sentais idiote... Cette honte ne tenant qu'à la réputation mièvre du poète. Pourtant je ne partage pas l'avis ambiant, je trouve que la poésie est un genre littéraire noble et précieux.
Tout est question d'argent, la poésie est le genre d'écriture le plus difficile d'accès au lecteur donc le moins rentable. Ce qui n'est pas bancable est vain ou minable, dans ce monde. Du coup écrire de la poésie est un truc de looser...
On rendra plus admiratif en ayant écrit un roman qu'en ayant écrit 2000 poèmes, c'est aussi parce qu'écrire un poème les gens pensent que tout le monde peut le faire, tandis qu'un roman non.
Les poètes modernes publiés ont trouvé une certaine parade : ils écrivent du compréhensible pour le plus grand nombre, ne se frottent pas aux formes classiques qui rappellent aux lecteurs leurs pénibles années d'école...
Edelphe
Posté le 30/08/2021 à 12:14:32
N'ai plus honte Edelphe ! Prends conscience de ton talent qui est une partie de Toi.

Je sais ne n'est pas faile de s'affirmer poète mais c'est plus ou autant qu'une écriture, un état d'esprit... Dont on peut être fière...
Une capacité de capter ce/ceux qui nous entourent et les émotions que l'on porte. Et de le retranscrire...

Peu importe la forme et le bancable ! Vive la poésie et les poétes!
Lucyline
Posté le 30/08/2021 à 19:30:02
Edelphe, je partage votre point de vue globalement : pour moi aussi la poésie est action de grâce et je suis desservant de son culte. Elle ne saurait être pour moi un simple passe-temps, mais s'établit passion, en lectures et pratique.

La réputation mièvre du poète est l'expression béotienne d'un certain refus de la beauté, malheureusement étendu aujourd'hui jusque dans certaines pratiques d'art, et où la poésie aussi à sa part d'affreux jojos (je me souviens d'avoir emprunté à lire il y a vingt ans un recueil d'un certain Philippe Beck dont le titre était : "Garde-manche hypocrite" = horreur incompréhensible de cette formule ! Cet auteur, Philippe Beck, ayant par ailleurs composé une anthologie de poésie pour un éditeur, mais alors quels étaient ses critères artistiques et esthétiques pour juger !?...)

L'esthétique est conspuée, car elle seule évade aux beautés vraies notre volonté de magnifier la vie qui nous est échue, et elle doit être conspuée par qui nous dirige et nous administre afin de mieux nous conditionner à l'obéissance.
Tout pouvoir, totalitaire par essence, nie la beauté et le sens esthétique au profit du réalisme jugé sain et responsable.
Seules des minorités possèdent le goût et l'argent pour soutenir et encourager la création dans l'art et les artistes et créatifs véritables (ceux qui nous permettent de voir vraiment le monde autour de nous dans sa beauté absolue). Je pense à ces minorités, commerçantes et/ou bourgeoises voire nobles avec du goût, à travers le temps (antiquité grecque, Renaissance italienne et flamande, bourgeoisie marchande hollandaise du 17ème siècle, France de Louis XIV et du 19ème siècle, États-Unis au 20ème siècle, etc...). La prospérité, souvent, aide l'art.
Je ne peux pas non plus négliger les minorités juives qui maintes fois ont soutenu mais surtout pratiqué les arts et avec quel éclat : que de collectionneurs de toiles très avisés notamment !

Par contre, les poètes modernes publiés, à mon avis, ne sont peut-être pas ce que vous en pensez, pour la plupart : s'ils écrivent de la poésie "compréhensible", au sens où ils ne fraient nullement dans la voie indiquée par un Mallarmé par exemple, c'est plutôt pour respecter le chemin de la poésie française indiqué par Rimbaud et Verlaine et Apollinaire, etc, pour le tournant du 20ème siècle en France : écrire une poésie de l'inattendu, de la surprise, renouveler l'art poétique en ajoutant de nouveaux angles de points de vue et de nouveaux traitements d'écritures, épater pour résumer un lecteur qui connaissait bien Ronsard et Villon puis Malherbe puis Chénier puis Hugo (celui-ci ayant tout résumé de la poésie française en lui même lol). Ils accompagnent de la sorte des évolutions parallèles dans d'autres champs artistiques tels que la peinture (impressionnistes qui ont dû jugé que Delacroix ou Courbet avaient épuisé la tradition picturale française dans le prolongement de Poussin ou du Lorrain ou de La Tour ou des Le Nain, par exemple, puis les fauves puis les cubistes...)
Les surréalistes seront les héritiers et les entreteneurs aussi bien de ce souci d'étonner les blasés.

Les poètes modernes doivent tenir compte de la profondeur historique de leur art. Également, la consommation de l'art s'est heureusement démocratisée, et il en faut plus et pas nécessairement mieux pour nourrir les publics variés de connaisseurs et de nouveaux venus apprenants à distinguer les choses. Des poètes incomplets peuvent ici vendre leurs pacotilles, comme le Beck que j'ai cité, une sorte de Hirst ou de Koons de la poésie, leurs écrits qui sont du vent et de l'anti poésie à la vérité (et sans doute ils se justifient en pensant à Georges Bataille qui a intitulé son recueil poétique "Haine de la poésie" tout en étant parfaitement poète au demeurant).

L'un de mes deux poètes préférés, Philippe Jaccottet (d'où mon pseudo "Jacou" en petit hommage quotidien) a tenu compte par exemple de l'évolution poétique des temps, en renonçant à la prosodie classique de son premier recueil publié à la fin des années 1940 (cf "Porto Vénère"), au profit de poésies plus libres nourries entre autres de la tradition japonaise du haïku (cf "Lune à l'aube d'été" qui est mon poème préféré). L'autre poète majeur de cette époque entre 1940 et 2000 est Yves Bonnefoy selon moi, et chez lui aussi il y a loin quant à la forme entre "Du mouvement et de l'immobilité de Douve" publié dans les années 1950 et qui se souvenait de Maurice Scève et du Mallarmé continuateur de Scève, et pensait à l'atmosphère des surréalistes, il y a loin avec son ultime recueil des "Planches courbes" publié vers 2007 et qui lui se ramifie dans Verlaine, vers la clarté de la tradition française où "ce qui se conçoit bien s'énonce clairement", et dont le propos et l'esprit prennent sens chez un Descartes ou pour nos mathématiciens par exemple, voire par cet art des jardins codifié à l'époque classique des Louis XIII et XIV, tradition française nourrie des œuvres de Malherbe et de Poussin, de Montaigne aussi et de Molière ou de Voltaire, qui est le classicisme de la forme et l'équilibre nuancé de l'expression maintenus jusqu'à Watteau et Verlaine surtout. C'est une des traditions françaises cependant, car Rabelais et Ronsard ouvrent d'autres voies suivies par Pascal le mystique et lyrique, par Scève ou par Claudel et par La Tour spirituel encore, dont Rousseau ou Baudelaire ou Rimbaud ont pu tenir compte.

Je termine en mentionnant le mythe crétin des "poètes maudits" que les béotiens incultes des médias aiment à entretenir quelquefois. Moi-même, parce que mon autre poète préféré est Friedrich Hölderlin, poète allemand du 19ème siècle devenu fou après la mort de la femme qu'il aimait alors qu'il était exilé en France comme percepteur loin d'elle, et également parce que j'ai une curiosité prononcée pour les êtres qui souffrent de la réalité réellement vécue parfois dans de mauvaises conditions confinant à l'atroce, parce que refuser ces conditions de vies qu'on vous fait et ce refus semble normal pour moi, pour ces raisons à l'adolescence j'ai développé une curiosité pour tout ce qui touche à la folie en relation avec les créateurs qui réinventent un monde où ils puissent se réfugier et croire vivre véritablement. Alors j'ai aimé le surréalisme d'André Breton, puis Hölderlin, et découvert Antonin Artaud et Van Gogh et Camille Claudel et le cher Nerval par exemple. Mais la vérité est que les "poètes maudits" sont l'infime minorité et que la folie et n'importe quel trouble de l'esprit, et encore tout ce qui amoindrit l'esprit dans son intelligence et dans sa finesse de perception sensible et dans sa clarté dévolue à l'éloquence maîtrisée, ainsi que les conduites d'échecs de vies comme l'alcoolisme ou les drogues (absinthe de Verlaine,
opium de Rimbaud et Baudelaire et morphine d'Artaud, etc), tout cela empêche la création et réduit l'imaginaire et modifie les perceptions. Et puis, une vie stable est nécessaire à l'art : Rimbaud ou Modigliani sont des exemples de renoncement ou de mort dans leurs vies abrégées par des circonstances autres certes, mais Rimbaud refusa son état de poète, à méditer par tout impétrant qui veut être poète, puisqu'il est le plus grand poète pour moi auprès de Baudelaire, le plus extraordinairement créatif de contenus et de formes, et enfin tous deux, Rimbaud et Baudelaire, sont passés de la poésie de formes classiques rimées à la poésie en prose devenue moderne forme poétique en France, et Jaccottet a suivi cette voie aussi, et Paul Claudel, et Francis Ponge, etc...

La poésie est tant belle activité vitale pour moi (elle m'a sorti de la dépression après m'avoir accompagné dans une période faite d'errance à la rue et de renoncement à d'anciennes conditions de vie) que je lui voue un culte, confiant qu'elle le mérite, et pour honorer les poètes dans le respect que je leur dois. Il est beau encore qu'à l'école, en France, la récitation aie lieu, cette ouverture au dire poétique qui enrichira plus tard nos façons de sentir et de voir, nous affine et nous raffinera, nous aidant à aimer mieux, à admirer les arts entre autres, et souvent poètes et peintres s'accompagnent mutuellement, il n'y a là guère de hasard, mais une convergence d'intentions maintes fois illustrée (Yves Peyré a publié un ouvrage rassemblant des poètes et des artistes qui mirent leurs mots en images, et ils sont très nombreux depuis le 19ème siècle : par exemple Jaccottet a écrit sur Giorgio Morandi, René Char était l'ami de Nicolas de Staël illustrant ses poèmes en compagnie de Vieira da Silva, etc).

Vive la poésie !
Et désolé pour cette tartine lol
jacou
Posté le 30/08/2021 à 19:47:35
Il faut arrêter d'avoir peur du regard de ....

C'est pas un concours ici , c'est un forum ...
Il n'y a pas de compétition non plus ...
Et puis si moi perso je suis une artiste et même avant d'avoir eu l'envie d'écrire ...

Rien que dans ma façon de penser déjà etc ...
Et c'est pas moi qui le disait ça j'étais très jeune ...
Et j'en suis fière personnellement car ça c'est confirmé depuis sur bien des plans oui .

Bref ,
Nous écrivons mais nous ne sommes pas des athlètes de haut niveau devant une épreuve de compétition avec une coupe ou médaille a la clé

Et j'encourage les personnes a dépasser cette honte , si l'envie leur prend d'écrire et ben écrivez !
ParadoXx696
Posté le 30/08/2021 à 22:17:12
La honte ou plutôt la gêne d'écrire de la Poésie, est un ressenti avant tout personnel. Écrire est un plaisir ou une passion, on le fait d'abord pour soi, pas spécialement pour les autres !

La critique est facile, l'art est difficile !
ELTEOR
Posté le 31/08/2021 à 07:43:45
Pourquoi ne pas rebaptiser ce topic «Â Fierté d’écrire de la Poésie » ?
Surtout quand elle est de toute beauté.
Chrysantheme
Posté le 31/08/2021 à 14:18:39
Aparté : Je remercie Jacou de m'avoir fait découvrir le poète Philippe Jaccottet, "A la lumière de l'hiver" est un livre merveilleux.

Je n'ai pas honte de ce que j'écris, cela me fait du bien que cela plaise ou non, je suis heureux quand je lis dans un commentaire que la personne a pu voyager, ressentir ou trouver une beauté dans l'écrit.
Par contre, je ne sais pas pour vous mais je suis fière au début quand je finis un "poème" puis je le trouve mauvais, si perfectible, inlassablement.
Oshidiriz
Posté le 31/08/2021 à 17:03:40
Oshidiriz, je vous remercie : répandre le culte de Jaccottet est ma mission et je suis son serviteur. La poésie a besoin de quelques phares éclairants, il est un phare pour moi à l'égal de Baudelaire et de Hölderlin, de Rimbaud et de Mallarmé.

Je suis d'accord avec vous, sur le caractère inlassablement non fini du poème. En ce moment, je republie des poèmes qui étaient déjà écrits il y a quelques années, et je les remanie en les corrigeant plutôt considérablement. Malgré ces améliorations, je constate sans cesse qu'il me faut encore et encore intervenir sur ces textes publiés pour corriger toujours et toujours, changer un mot ou un vers entier, refaire une strophe, modifier des rimes, etc.

La perfection n'est pas de ce monde, mais cet impossible auquel cependant nous aspirons nous tient vivant.
jacou
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19/04 08:58Sarahg
Ok.
19/04 08:56Plume borgne
J'ai pas dit le contraire
19/04 08:52Sarahg
Non, les destins peuvent être merveilleux.
19/04 08:50Plume borgne
Tout se résume au livre ivre d'une vie de givre
19/04 08:00Sarahg
Remarque, un livre où tout est déjà accompli, ce serait pas mal.
19/04 07:45Sarahg
Ce serait un livre douloureux. Un livre a besoin d'une histoire, de vie.
19/04 06:43Plume borgne
Imagine un livre d'une page dont le titre serait livre dans lequel il n'y aurait que le mot livre en préface en histoire et en résumé
17/04 07:42Sarahg
"C'est pas marqué dans les livres que l'plus important à vivre est de vivre au jour le jour, le temps c'est de l'amour..."
17/04 07:25Plume borgne
Les décisions sont un fléaux
17/04 06:51Sarahg
Indécis et ancré à la terre du destin.
17/04 05:00Plume borgne
Essaye d'imaginer quelque chose en étant le plus indécis possible
17/04 02:47Sarahg
Imagine qu'il n'y ait jamais de tristesse indicible
16/04 08:28Plume borgne
Imagine qu'on parvienne à tuer l'ennui
15/04 10:58I-ko
imagine qu'il n'y a rien à tuer ou à mourir
15/04 05:16Plume borgne
Pourquoi ne pas imaginer l'imagination ?
14/04 04:41Bleuet_pensif
Si seulement cette imagination était réelle...
14/04 04:31I-ko
imagine tous les gens vivre leur vie en paix
12/04 07:39Ocelia
Imagine les gens vivant pour maintenant, imagine si le paradis était un mensonge. Lennon
11/04 04:10Sarahg
À méditer pour vous en ce jeudi.
11/04 04:09Sarahg
"La folie est un don de Dieu". Jim Fergus

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