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Posté le 04/05/2008 à 10:17:25
Paroles proposées par lyliana Ce matin j' me sens pas bien J'me sens pas belle et pas comprise Je vais dans la salle de bain Je me regarde et me sens triste Je m' demande où je vais 21 ans à zigzaguer A faire semblant d'avoir grandi Moi j'en ai marre de m' dire tant pis J'en peux plus De trimer pour un taff D'être jeune et déçue Et marcher sur mes traces Marcher sur mes traces tout le temps Toujours prendre des baffes pourtant J'ai besoin de vivre laissez moi libre {Refrain: x2} J'crois que j' vais tout plaquer J'me sens attirer par le vide J' m'accroche pour pas craquer J'suis comme écorchée vive Derrière les portes sur le pallier J'entends toujours les mêmes souffrances J'me lève allume la télé Histoire de combler le silence Sur mes pages des ratures Celles où j' mets toutes mes espérances ça paye pas encore les factures et ni mes avis d'échéance J'en peux plus De trimer pour un taff D'être jeune et déçue Et marcher sur mes traces Tout le temps et toujours prendre des baffes pourtant J'ai besoin de vivre laissez moi libre {Refrain: x4} J'crois que j' vais tout plaquer J'me sens attirer par le vide J' m'accroche pour pas craquer J'suis comme écorchée vive C'est écrit mais j' crois que j'ai pas bien lu On m'a dit mais j' l'ai pas entendu Certains jours trop de fois ça va pas On ne me l'avait pas d'écrit comme ça C'est écrit mais j' crois que j'ai pas bien lu On m'a dit mais j' l'ai pas entendu J'savais pas qu' ça faisait mal comme ça D'être née avec un coeur gros comme ça parole de keyna smet que j'écoutais quand je déprimais aujourd'hui lorsque je l'écoute j'ai plus envie de sauté , sinon je n'aurai jamais vécu ce que je vis avec vous , vous que j'aime tant |
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Paradise |
Posté le 26/06/2008 à 08:44:05
parole proposée par lylianna : Le vent souffle sur les plaines de la Bretagne armoricaine. Je jette un dernier regard sur ma femme, mon fils et mon domaine. Akim, le fils du forgeron, est venu me chercher; Les druides ont décidé de mener le combat dans la vallée. Là où tous nos ancêtres, de géants guerriers celtes, Après de grandes batailles se sont imposés en maîtres. C'est l'heure maintenant de défendre notre terre contre une armée de Simériens prête à croiser le fer. Toute la tribu s'est réunie autour des grands menhirs pour invoquer les dieux afin qu'ils puissent nous bénir. Après cette prière avec mes frères, sans faire état de zèle, les chefs nous ont donné à tous des gorgées d'hydromel, Pour le courage, pour pas qu'il y ait de faille, Pour rester grands et fiers quand nous serons dans la bataille. Car c'est la première fois pour moi que je pars au combat Et j'espère être digne de la tribu de Dana. {Refrain:} Dans la vallée (ho ho) de Dana (la li la la). Dans la vallée (ho ho), j'ai pu entendre les échos. Dans la vallée (ho ho) de Dana (la li la la). Dans la vallée (ho ho), les chants de guerre près des tombeaux. Après quelques incantations de druides et de magie, Toute la tribu, le glaive en main, courait vers l'ennemi. La lutte était terrible et je ne voyais que des ombres, Tranchant l'ennemi qui revenait toujours en surnombre. Mes frères tombaient l'un après l'autre devant mon regard, Sous le poids des armes que possédaient tous ces barbares, Des lances, des haches et des épées dans le jardin d'Eden qui écoulait du sang sur l'herbe verte de la plaine. Comme ces jours de peine, où l'homme se traîne À la limite du règne du mal et de la haine. Fallait-il continuer ce combat déjà perdu ? Mais telle était la fierté de toute la tribu. La lutte a continué comme ça jusqu'au soleil couchant, De férocité extrême en plus d'acharnement; Fallait défendre la terre de nos ancêtres enterrés là, Et pour toutes les lois de la tribu de Dana. {au Refrain} Au bout de la vallée on entendait le son d'une corne, D'un chef ennemi qui rappelait toute sa horde. Avait-il compris qu'on lutterait même en enfer Et qu'à la tribu de Dana appartenaient ces terres ? Les guerriers repartaient, je ne comprenais pas Tout le chemin qu'ils avaient fait pour en arriver là, Quand mon regard se posa tout autour de moi, J'étais le seul debout de la tribu ; voilà pourquoi Mes doigts se sont écartés tout en lâchant mes armes, Et le long de mes joues se sont mises à couler des larmes. Je n'ai jamais compris pourquoi les dieux m'ont épargné De ce jour noir de notre histoire que j'ai contée. Le vent souffle toujours sur la Bretagne armoricaine Et j'ai rejoint ma femme, mon fils et mon domaine. J'ai tout reconstruit de mes mains pour en arriver là, Je suis devenu roi de la tribu de Dana. |
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Paradise |
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