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Commentaires
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Posté le 03/09/2022 à 20:14:47
Bonjour à toutes et à tous
Je souhaite aujourd’hui vous parler d'un projet littéraire, la publication de mon récit poétique : «Â Les Saisons assouvies » qui raconte les bouleversements survenus dans ma vie, les transformations que la passion amoureuse a engendrées ainsi que mes interrogations. J’ai constitué une narration à partir de 86 textes choisis, sous une forme classique, pour un fond qui ne l’est pas.

Au printemps 2021, j’ai envoyé cet ouvrage à une quinzaine d’éditeurs, j’ai attendu des mois, j’ai eu des réponses négatives ou aucune, la poésie ne semble pas vendeuse. J’ai décidé de m’auto-éditer. Graphiste de métier, j’ai travaillé sur la forme idéale de ce livre, il est prêt à être imprimé. 

J'ai lancé un financement participatif* (crowdfunding) sur Ulule. Je ne sollicite pas de dons : il s’agit de la pré-vente de l’ouvrage.

En contribuant financièrement ou en partageant sur vos réseaux le lien ci-dessous vous manifesterez pour l’existence de la poésie et pour sa diffusion.

https://fr.ulule.com/les-saisons-assouvies/
Audrey Deroze
Posté le 03/09/2022 à 20:47:20
Bonne chance.
Intruder
Posté le 04/09/2022 à 09:33:03
Puisse la réussite vous accompagner dans votre entreprise poétique.
Syntax_Error
Posté le 04/09/2022 à 17:16:02
Merci Sorel Ferdinand et Syntax_Error, on va bien voir.
Audrey Deroze
Posté le 07/09/2022 à 12:28:21
Bonjour Audrey,

C'est un beau projet pour votre livre.
Je vous souhaite de le réaliser tel que vous le souhaitez.
Yuba
Posté le 08/09/2022 à 11:08:08
Bonjour Audrey Deroze, bonjour Syntax Error, bonjour les modos,

Madame, je vous souhaite bon courage pour votre projet littéraire.

Je reviendrai vers vous, ailleurs, bientôt, pour soutenir d'une façon plus personnelle, selon le vœu d'un ami à vous, votre poésie et votre recueil.

Merci de votre confiance accordée à Icetea, et félicitations pour votre ténacité : les poètes en ont besoin depuis toujours !
jacou
Posté le 08/09/2022 à 19:14:46
Merci Yuba, puissiez-vous me porter chance.
Jacou, j'espère que vous lirez un jour ce livre, ce sera pour moi une joie.
Audrey Deroze
Posté le 11/09/2022 à 21:59:32
Bonsoir Audrey Deroze, je souhaite toute la réussite possible pour ce projet à la genèse duquel vous avez eu la gentillesse de me faire un peu participer en qualité de "bêta-lecteur".

Construction sensible et intelligente, haletante aussi dans le choix des textes finalement retenus sur votre production prolifique et leur mise en regard, leur succession ou leur articulation au long cours, la version que vous aviez alors soumise à ma "bêta-lecture" m’avait beaucoup plu : il est assez rare, je trouve, de lire des recueils de poésie dont l'ordonnancement parvient également à proposer une trame narrative permettant à chaque fois de restituer les textes dans l’urgence et l’immediateté de leur écriture tout en leur conférant cette épaisseur et cette densité particulière qu’une chronologie reconstituée a posteriori - sur la base de souvenirs et de sensations, bien sûr, mais aussi d’oublis et d’une compréhension affinée de certaines situations passées à l'aune d’évolutions plus récentes - sait insérer dans un récit. Je me souviens notamment d'agencements qui me semblaient si brillants que le sourire me venait aux lèvres et aux yeux : les écritures ne sont pas si nombreuses qui savent produire un tel effet sur le lecteur que je suis. Lorsque cela est cependant le cas, je ne me refuse jamais à le faire savoir.

Cette idée de "campagne" de financement participatif de l'impression de votre recueil, dont vous aviez, de mémoire, commencé la confection en janvier 2020, me plaît beaucoup (vous avez pu vous en apercevoir dès le premier jour-;), et fera peut-être - qui sait ? - des émules dans les rangs des petites plumes (au nombre desquelles compte également la mienne) qui s’agitent de manière si vivante sur d’obscurs et pourtant si lumineux sites de poésie ;-)

Bonne chance pour votre campagne, car j’ai hâte de lire la version définitive de votre recueil ;-)
AdA
Posté le 20/09/2022 à 20:07:53
Cher Ada, vous me faites rougir. Croisons les doigts pour la naissance de cet ouvrage mais surtout pour la poésie contemporaine en général, qui fait parfois figure de parent pauvre de la littérature. Soit elle n'est appréciée que des académies (et donc confidentielle), soit elle pousse comme une flore adventice, entre deux gros pavés de bests-sellers. Merci
Audrey Deroze
Posté le 23/09/2022 à 15:07:18
Vous n'avez pas à rougir, Audrey Deroze : alors que Poutine mobilise à tour de bras pour envoyer des gens mourir ou tuer et que l'on nous prépare en Europe une réintroduction du service militaire obligatoire, j'éprouve, quant à moi, une immense fierté que d'avoir, en revanche, à mon modeste niveau, participé par ma bêta-lecture à votre recueil qui parle si bien de la (seule) vie qui vaille d'être vécue : celle de l'amour et de ses émotions ;-) J'espère de tout mon cœur que votre projet aboutira ; je pense qu'il le mérite vraiment ;-)
AdA
Posté le 26/09/2022 à 12:54:25
Chez Ada, chers poèt(esse)s mon projet avance gentiment : le crowdfunding est à 73% de la réussite, mais le temps passe très vite : plus que 15 jours pour atteindre l'objectif qui est, je le rappelle, de financer la moitié de l'impression de mon récit poétique (l'autre moitié je m'en charge). Contribuez pour que la poésie se fasse une place, certes modeste, mais significative sans avoir été adoubée par les académies ou les éditeurs dont je déplore la frilosité.
Merci d'avance
Audrey Deroze
Posté le 27/09/2022 à 20:07:21
L'édition est un métier qui est tenu par des personnes qui décrètent ce qui mérite ou non d'être imprimé. Le plus souvent ils dédaignent la poésie qui n'est pas rentable.
Être libraire est un métier où l'on fait commerce de livres sans trop de risques, puisque c'est le seul commerce qui peut rendre ses invendus à ses fournisseurs (le saviez-vous ?).
Je comprends votre point de vue : lancer nos poèmes dans le vent ou sur le net c'est beau et je le fais depuis 13 ans.
J'ai envie, aujourd'hui de faire un livre papier, bien concret, beau, que l'on garde, que l'on offre et que l'on relit, c'est autre chose. Et, figurez-vous, l'imprimeur demande de l'argent pour l'imprimer… quel manque de générosité ! Mais il faut bien qu'il vive. Voilà, je n'achète pas une robe : je l'ai cousue de mes mains et je ne fais pas la manche Marinelise.
Audrey Deroze
Posté le 28/09/2022 à 11:17:13
Ce post prend décidément une tournure étonnante et passionnante. Je ne peux que m'en réjouir, car, s'il permet, bien sûr, de donner une petite visibilité à votre campagne de crowdfunding que je suis avec anxiété sur Ulule (votre recueil atteindra-t-il la barre des 100% qui lui permettront de voir le jour sur de solides bases et donneront peut-être à d'autres l'idée et l'envie de recourir à ce moyen original de financement par préventes ?), il permet aussi, de façon assez inattendue, et grâce à l'intervention de Marinelise, de poser la question du déploiement de la poésie en dehors du cadre plus souvent imposé que voulu de la seule gratuité - mirage soigneusement entretenu, et de plus en plus, par les mondes virtuels au sein desquels nous nous mouvons, lorsque l'auteur n'a pas trouvé de maison d'édition qui serait prête à supporter le risque du tirage d'un recueil voyant souvent le jour au terme d'un long et tortueux cheminement. Cette question du déploiement de la poésie est aussi, inévitablement, celle de son financement.

Sur le fond, je crois que marinette veut parler de cet "état de poésie" qui exigerait - "commanderait" - une sorte d'abandon et de don de soi, ou, au minimum, de ses propres mots, sans qu'une quelconque contrepartie soit nécessaire en retour. Il s'agit-là, à mon sens, d'une forme de radicalisme idéal - d'une aspiration - rendant toutefois peu probable la possibilité de trouver quelque équilibre viable que ce soit : La Fontaine (dont je ne prise guère les fables à la morale si raide et incongrue - à mes yeux - et qui me dépriment souvent toutes plus les unes que les autres) en présente les limites dans sa cigale et sa fourmi : la cigale n'a pas de "métier", elle ne "travaille" pas, elle chante -> don de soi, abandon, aussi, puisque, dans la fable, nul ne semble prendre le temps de l'écouter, et surtout pas la fourmi, qui a bien trop à faire, car elle a un travail, elle (lequel, la fable ne le dit pas). On se trouve là face à la vieille querelle latine de l'otium (l'oisiveté) et du negotium (la négation de l'oisiveté : le négoce) qui nous poursuit jusqu'à l'heure actuelle (et dont on pourrait même, en tirant le tout à peine par les cheveux, dire que les discours de l'islam radical y souscrivent, qui estiment que la musique c'est "haram"). Cet "état de poésie" dont la fable semble se faire l'écho se heurte néanmoins au "Realitätsprinzip" - le principe de réalité - si cher à Freud : le monde réel, celui de la société des hommes - ici incarné par la fourmi - fait peu de cas de ce qu'elle considère comme une activité oisive. De sorte qu'au moment où la cigale demande un prêt dont elle s'empresse de promettre le remboursement complet (principal et intérêts compris) la fourmi a beau jeu de faire passer cela pour de la mendicité en faisant croire à la cigale qu'elle fait "la manche", car on ne saurait demander quelque rétribution que ce soit pour zéro travail accompli. L'argument de la fourmi est évidemment fallacieux, cruel, de mauvaise foi et mériterait que toutes les cigales du monde se révoltent, mais la réalité et son principe sont bien de cet ordre : la poésie, comme la chanson de la cigale, est souvent moquée et rangée au rang de l'oisiveté et, donc, de l'inutilité sociale. C'est précisément pour cela, je crois, que l'"état de poésie" ne peut jamais être complètement atteint : les poètes.ses sont souvent contraint.e.s d'exercer ce que la société des hommes considère comme un "vrai" métier (avocat, éboueur, guichetier, bibliothécaire, enseignant, banquier, saute-ruisseau, cantonnier, tourneur-fraiseur, traducteur, maraîcher, graphiste, chauffeur routier, infirmier, boulanger, livreur de pizza, etc.), ce qu'illustre particulièrement le verbatim du procès du poète Joseph Brodsky :

Première audience du procès engagé contre le poète Joseph Brodsky, accusé de « parasitisme social ».
Leningrad, le 18 février 1964.

LA JUGE : Quelle est votre profession ?

BRODSKY : J’écris des poèmes. Je traduis. Je suppose...

LA JUGE : Il n’y a pas de « je suppose ». Tenez-vous droit comme il se doit. Ne vous appuyez pas contre le mur ! Regardez la cour ! Répondez à la cour comme il se doit. Avez-vous un travail régulier ?

BRODSKY : Je pensais que c’était un travail régulier.

LA JUGE : Répondez avec exactitude !

BRODSKY : J’écrivais des poèmes. Je pensais qu’ils seraient imprimés. Je suppose...

LA JUGE : Vos « je suppose » ne nous intéressent pas. Répondez : pourquoi n’avez-vous pas travaillé ?

BRODSKY : J’ai travaillé. J’ai écrit des poèmes.

LA JUGE : Cela ne nous intéresse pas...

Ce que montrent les interventions d'Audrey Deroze et de jacou, c'est précisément cela, je crois (je passe sur le pillage et le plagiat, qui doit sans doute bien exister, mais sur lequel il ne me semble pas être assez informé pour en parler correctement).
AdA
Posté le 28/09/2022 à 19:10:27
AdA, je pense que les "travailleurs", ceux pour qui la valeur travail a primé, tandis que le monde était réduit par eux au réalisme, au matérialisme, primant de telle manière que la peinture et le roman et la philosophie et la politique s'adonnèrebt à ne refléter que le réel jusqu'au sordide des "Germinal" et autres joyeusetés engageantes mais formatrices, je nomme ici le communisme et le nazisme avec leurs camps pour "travailleurs" à éduquer encore et encore, ceux-là ont tué les arts, les spiritualités, les espérances, la joie qui est à la base de la production mentale avec une hormone dédiée, ils ont effectivement comme vous dites eu à éduquer mieux les artistes, en les chassant (Kandinsky), en les déportant (Mandelstam), en les suicidant (Maïakovsky), en les tuant à la tâche...
Pour ceux-ci, l'homme était quelconque, masse, puissance pour eux seuls, et parfaitement remplaçable individuellement, reproductible, etc...

Personnellement, vivant à la rue, j'ai lu les poètes pour oublier ma situation sordidement réaliste. M'inscrisvant ici, étant dépressif, c'est la valeur oisive, thérapeutique, plaisante du non-travail de l'art, de la poésie, que j'ai et c'est cette partie là qui me donne mes contacts, la poésie politique, militante, utile ne m'intéresse absolument pas et produit peu de choses bonnes (Aragon : "Hourra l'Oural" pour fusiller les "ours savants" pas fascistes mais de la social-démocratie, et Eluard admirateur de l'Union Soviétique mais qu'on loue quand il parle de "liberté j'écris ton nom", lui non résistant quand René Char a résisté en ne publiant rien tandis qu'il devait tuer).
Je peux donc être d'accord sur la valeur agréable de la poésie, du reste, un art utile est amoindri, même si il a sa valeur, parce que tout art est pour la communauté D'ABORD, ensuite pour soi, si l'on veut, éventuellement. Il est échange et partage sans argent, sans la valeur travail.
jacou
Posté le 29/09/2022 à 14:39:19
Je suis surprise du tour que prennent les commentaires sous mon post. J'ai un peu l'impression que mon propos purement informatif été évincé au profit d'une querelle personnelle…
C'est assez désobligeant, je trouve.
Audrey Deroze
Posté le 29/09/2022 à 15:57:13
Bonjour Audrey,
Je comprends votre mécontentement et je vous soutiens de ce côté.
Tout ce déferlement de propos est parti suite au premier commentaire de Marinelise, auquel vous avez très bien répondu et qu' elle a d'ailleurs supprimé, plus tard .

Je l'invite à supprimer celui où elle attaque la modération et qu' à partir de là, je prie chacun de respecter ce post en n'y communiquant qu'en rapport avec son sujet:
Le projet du receuil !

Mille mercis à toutes et à tous :)
Yuba
Posté le 29/09/2022 à 16:38:55
Bonjour Audrey, Marinelise ayant retiré ses posts désobligeants, mes réponses dont une surtout adressée à elle n'ont plus de sens ici.

Comme a dit Musouka dans un topic du forum il y a peu, le travail des modérateurs s'assimile à l'œuvre de Sisyphe, tendance camusienne sans gloire et absurdité de chaque jour.

Je dois maintenant retirer mes posts à moi en vous présentant mes excuses, ce que me forcent à faire certains individus ici, et qui, comme indiquait également Musouka, a un impact sur mes relations ici, sur ma poétique également, quand ce site est d'accès gratuit, libre d'accès, et conserve les textes publiés très longuement, aux frais de l'administrateur Fluminis qui le créa et n'y publie pas, lui.......
jacou
Posté le 30/09/2022 à 16:59:41
Merci à tous pour l'apaisement de vos propos.

Je signale à toutes fins utiles que ma campagne de financement participatif (actuellement à 80% de l'objectif) s'achève le 10 octobre à 23h59 précisément. Si vous pensez que la poésie a droit de cité dans les librairie, même si les éditeurs demeurent frileux, contribuez et partagez.
Audrey Deroze
Posté le 02/10/2022 à 15:51:24
Bonjour Marinelise, merci pour votre intention de sou scription, cela ne peut se faire que via le site de Ulule, lien ci-dessous :

https://fr.ulule.com/les-saisons-assouvies/

Je n'ai rien à vous pardonner et c'est moi qui vous remercie d'avance.
Audrey Deroze
Posté le 06/10/2022 à 00:21:23
Et bien voilà une bonne chose de faite.

Puisse ce livre voyager d'esprit à esprits.

Félicitations.
Syntax_Error
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07/04 08:59Yuba
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