Vous marchiez au loin belle inconnue
Dans votre robe à dentelle
Lorsque je vous ai aperçu
J'étais ivre mort de plus belle
J'aurais tant voulu vous parler
Mais vous avez disparu
Je ne saurais jamais rien de vous
Si ce n'est que l'odeur de votre parfum perdu
J'ai réussi à me redresser et clopin clopant
Je suis rentré chez moi désespéré
J'ai pleuré sur ma misère
Au fond il fallait peut-être mieux me taire
Écrit par eponalabelle
la roue tourne
Catégorie : Amitié
Publié le 01/07/2013
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Commentaires
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Posté le 02/07/2013 à 01:44:53
Pleurez, pleurez, vous aurez plus de chance la prochaine fois ! | |
Mokolo |
Posté le 02/07/2013 à 12:57:59
Comme quoi être "ivre mort" n'est pas toujours payant... | |
Marouette |