Il volait sur un nuage
au bleu si pur
lorsqu'une bouche,
aux lèvres pulpeuses,
le rendit soudain blême.
Deux yeux marrons,
d'une beauté sans mesure,
des cheveux châtains,
une auréole, même,
vinrent tous ensembles l'éblouir
le transformant en étincelle,
comme un aigle,
dans son sourire,
esquissant un songe presque réel.
Cet oiseau là, Chrysalide,
c'est un être perdu
dans l'immensité du jour.
Et belle princesse,
passant avec légèreté,
laisse cet homme
à ton âme s'abandonner.
Castell de Fels, le 20 Août 1972.
Écrit par Raymond_MATABOSCH
Cent fois sur le métier remet ton ouvrage car c'est en forgeant qu'on devient forgeron.
Catégorie : Triste
Publié le 12/10/2006
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Commentaires
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Posté le 12/10/2006 à 09:21:48
beau aussi, et bienvenue sur le site..... | |
plustout |
Posté le 12/10/2006 à 10:10:17
très beau également! | |
MAZBRI |
Posté le 21/10/2006 à 14:12:29
oui, magnifique ! | |
Sadness_Angel |