On ne l'attendait pas déjà
Et pourtant la voilà.
La nature s'est couverte
D'un grand manteau blanc,
Les portes et fenêtres,
Ne sont plus ouvertes.
Au jardin, plus de chaises, ni de bancs
Les oiseaux, pauvres petites créatures
Peinent pour trouver un peu de nourriture.
Les enfants sont aux anges…
Tant pis pour les petites mésanges
Tout n'est que froidure,
Disparu la verdure.
Quelques fleurs ont résisté
Elles montrent le bout de leur nez,
Pauvres, toutes rabougries
Elles aussi sont amaigries.
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Commentaires
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Posté le 11/12/2008 à 16:25:01
Et ça cache la misère comme on dit par chez moi (la Haute Savoie) lol joli poème marsouine |
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le fifi |
Posté le 11/12/2008 à 20:08:44
En même temps retrouvé cette blancheur apaise la misère, très beau poème, vivement le printemps | |
nicky |
Posté le 12/12/2008 à 15:47:07
Merci mais si vous attendez le printemps prenez patience ce n'est pas pour demain. Cette année l'hiver nous fait des misères très tôt | |
marsouine |