Du blanc et noir inusuel
et un certain cri trop répandu
qui modifient l'atmosphère
font cet Février, un instant mûr
pour méditer sur le futur.
Et les brouillards, les pluies fréquentes
viennent assiéger les membres froidies
comme piqûres de vie absente.
Le train s'en va
et toi tu as peur que la poésie des illusions
va aussi partir
ensevelie
dans le grand cargo océanique
loin de grises rives de l'âmertume.
Mais il suffirait juste un regard
et l'intention de délaisser
le noir insistent au bord de l'âme
pour repartir le sourire franc
et une fraîche haleine.
Écrit par galatea belga
Mon rêve est la réalité banale d'un autre
Catégorie : Amour
Publié le 02/03/2021
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Commentaires
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Posté le 02/03/2021 à 10:10:21
"Et un certain cri trop répandu" J'ai adoré ce vers Merci à vous |
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Edelphe |
Posté le 03/03/2021 à 17:55:03
Et moi "le noir insiste au bord de l'âme". Vos textes sont comme un maquillage qui donne de la couleur aux mots, un jeu d'ombres et lumières. Merci Galatea | |
Asté |
Posté le 03/03/2021 à 18:22:40
Edelphe et Asteroidea...c'est un grand plaisir vous lire autour de mes mots. Merci !galatea |
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galatea belga |