Depuis que j'ai cent ans il faut que je confesse
Avoir peur de mourir, j'estime que rien ne presse.
Je viens de me lever vite il me faut la presse
Filons voir le kiosquier que mon angoisse cesse.
Rubrique nécrologique la seule qui m'intéresse.
Ouf je respire, mon nom n'y est pas couché,
Je suis donc vivant et retourne me coucher.
Merci Paul Léautaud
Écrit par PAPY ROBERT
Vous ne pouvez pas empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de vos têtes, mais vous pouvez les empêcher de faire leurs nids dans vos cheveux. [Proverbe chinois]
Catégorie : Drole
Publié le 12/01/2021
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Drole à découvrir... | Poèmes de PAPY ROBERT au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 12/01/2021 à 18:38:25
Bonsoir, Cocasse ! courir voir si Nom n'y est pas .. ouh ! Et dire que des Vivants sont passés pour morts et doivent prouver qu'Ils sont Vivants .. quelle Vie !! LyS .. |
|
Lys-Clea |
Posté le 12/01/2021 à 18:46:10
Amusant ! une dose d'absurde bien agréable, merci pour le sourire ! | |
capri |
Posté le 13/01/2021 à 15:42:04
Posté le 13/01/2021 à 19:26:51
Un merveilleux poème que je ne connaissais pas. | |
virgile |
Posté le 14/01/2021 à 08:11:59
merci à tous | |
PAPY ROBERT |