Des hauteurs mouchetées de neige,
Une terre habillée de rouge et de beige,
Dans les hauteurs , elle s'enneige,
De racines que l'on protège
Des troupeaux de chèvres,
Qui mâchent le foin avec leurs lèvres,
Près des vaches immobiles
Se faisant moins habiles,
Revêtu, le pré de durs fourrages,
Savourant les senteurs kabyles,
En hauteur les femmes en habit traditionnel
Ne peuvent qu'éveiller notre émotionnel,
En se perdant en ces montagnes éternelles,
Confidences se font ascensionnelles.
Se réveiller au chant du coq
Tenant tête au paysan en défroques,
Tout mon amour porté à mon pays des quatre saisons,
En écrivant ces quelques vers avec ma passion,
Hommage pour mon pays qui doucement s'élève
En une douce méditation
Et offre généreux le fruit de ses tentations!