Lorsque mon corps se soulève doucement sous la brume,
Je ressens toujours cette amertume,
Comme si une part de moi était vide et pleurait sans cesse,
A toujours sourire mais chez soi souffrir par politesse,
Je ressens la musique sensiblement,
Me donne des coups d'aiguilles,
elle fait vibrer mon âme sans armureries,
Je ressens la douceur des choses sensibles émotionnellement,
Comme une pierre inexistante s'enfonçant dans le creux de ma main,
Comme si j'imaginais le ruisseau de mon sang,
Comme l'eau d'une rivière ou le calme d'un étang,
Comme si tout était furieux et paisible du jour au lendemain,
J'ai le coeur lourd et mes maux difficiles,
La puissance d'un étalon déferlant,
Les paysages qui défilent,
La force de mes sentiments plongée dans de grands tourments,
https://www.youtube.com/watch?v=EuSAtD96bVI
(Wakker) me fait rêver et me réveille.
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Je vous comprends d'autant plus que j'aime, personnellement, une chanson qui m'aide à m'endormir. Ce beau poème accompagne ainsi votre chanson que j'ai apprécié d'écouter, c'est une découverte. J'aime la consécration poétique des choses les plus essentielles, et souvent les plus simples, de nos existences. Une chanson peut être un bonheur. Merci de ce partage en musique, Sophia. |
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jacou |
Il y a ainsi des musiques qui peuvent prendre des pouvoirs essentiels sur nous .Il y a celles des passions celles des colères et celles des sérénités dans le calme ou pourquoi pas celles qui poussent à se lever et danser . J'adore les images utilisées par le poème comme la prise de conscience du ruisseau du sang ...merci et bravo Sophia ! |
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Yuba |
Merci à vous pour vos commentaires bienveillant. Cela me touche beaucoup. Amitiés, Sophia. |
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Sophia |