Le jour est une image
et laisse sublimer
le vent, les longs regards
d'un passage étranger.
Je regarde sur le rivage
le bruit de mille pas
et les traces d'un voyage
aux vagues appâts.
L'horizon dissimule
en de futurs endroits
le rêve et l'illusion
de nos vives raisons.
Sur le fleuve, un navire
glisse sur les voix
le navigable jeu des silences sournois.
LM
4.12.18
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Commentaires
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Posté le 04/12/2018 à 19:13:14
J'apprécie le début et la fin plus particulièrement. J'ai l'impression d'être dans un tableau, qu'introduirait le 1er vers,, puis je me glisserai dans la dernière strophe. Impressions intéressantes. Merci. | |
jacou |
Posté le 04/12/2018 à 21:21:30
Votre poème est le jour! Une image décrite avec la patience d'un regard attentif, merci. |
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Hypothese |