Nuit chaude sous le globe céleste radieux
J'ai cru voir fuir, frémir et sourire une étoile
Un point rouge pupille d'un œil curieux
Qui me durcit les yeux et qui dressa mes poils
Je l'ai vu et poursuivi dans chaque milieu
Chaque lieu où meilleure qu'une goutte d'huile
Il m'attendait et je n'ai rien vu, que lui, mille
Comme lui ne sont plus rien, sont à mille lieues
Quand je m'ennuie je vois qui vit, virevolte
D'autres jours il m'envahit un peu. Résigné
Je ne le vois pas plus, il disparaît, désinvolte
Je le vois tant, que je ne le vois plus, blasé
Le jour plonge et ce point, que je regarde encore
Décrivant nos cosmos; nos galaxies. Hier
Demain, toujours, ce point sera plus fort
Que les sorts discrets de mes odieuses chimères
Écrit par Zigzag
\"L\'art est un mensonge qui nous fait saisir la vérité\" Picasso
"Mon bonheur ne serait pas bien grand, si je pouvais dire combien il l’est… " (Beaucoup de bruit pour rien, Shakespeare) Catégorie : Divers
Publié le 26/09/2018
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Commentaires
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Posté le 26/09/2018 à 08:11:49
Zigzag , j adore ... ta poésie | |
Estaile |
Posté le 26/09/2018 à 10:53:34
J'adore "Je le vois tant, que je ne le vois plus" | |
Victor |
Posté le 30/09/2018 à 19:04:40
Merci beaucoup! | |
Zigzag |