Quand la comète sera là,
Peut-être nous nous reverrons.
Des traînées épuisées d'étoiles
Vibreront dans tes yeux verrons
Tu porteras du kohl, ciel noir
Que presque amants nous révérions
Lascive, aigrie, me feras boire
Ton philtre amer d'un verre rond
Pieds nus, crasseux, je veux te vendre
De beaux souliers en vair. On
Me dit de me taire, de me rendre
A l'évidence. Où j'vais?...Errons.
C'est qu'il faut être deux aux échecs, pour jouer!
Écrit par brunoejemert
Le matin, je ne mange pas, je pense à toi
A midi, je ne mange pas, je pense à toi Le soir, je ne mange pas, je pense à toi La nuit, je ne dors pas: j'ai faim. Catégorie : Amour
Publié le 22/05/2015
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Commentaires
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Posté le 22/05/2015 à 20:21:34
Cool 😜 | |
Ismo75 |
Posté le 23/05/2015 à 07:10:41
j'adore!!!!! | |
pat |
Posté le 23/05/2015 à 18:50:13
Un bon poème sur la fin de tout ! | |
jacou |