Le palais était vide et la jeune fille dansait
On entendait même l'écho lointain d'une lyre
Avec l'onde sonore on la voyait s'entretenir
Le prince est à la chasse, elle en est la fiancée
On voyait en elle cet ange descendu du ciel
Avec cette robe fleurie qui laissait transparaître
L'ombre angélique de la main du maître
Et sous la fine écharpe transpirait le miel
Une petite abeille, qui faisait des tours
Qui faisait des cercles et des pirouettes
Et qui chaque soir regorgeait d'amour
Elle aimait les fleurs, belles et mignonnettes
Elle couvait un rêve sous sa silhouette
avec son bourdonnement se levait le jour
Écrit par zeste
la vie n'est qu'éphémère nous ne sommes que passagers qu'elle soit bonne qu'elle soit amère il faudrait se partager le pire et le meilleur.
Catégorie : Amitié
Publié le 11/11/2013
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Commentaires
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Posté le 11/11/2013 à 18:59:31
Délicieuse petite abeille qui aspirait à butiner la fleur extraordinaire. J'imagine comme le suggère ce très beau poème. | |
TANGO |
Posté le 13/11/2013 à 21:00:48
Un exquis poème un délicieux régal. | |
flipote |
Posté le 15/11/2013 à 01:37:49
Oui très beau poème, je rejoins TANGO et flipote ! Amitiés poétiques absolème |
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absolème |