L'espoir de vivre parmi les siens
Et hiberner durant des mois
Dans la pénombre, au loin du froid
Une cheminée, qui près de moi
Elance un feu, d'un bout de bois
Avoir l'espoir de vivre bien
Sous le silence d'un toit serein
Sur la moquette, une photo de toi
Ma cigarette au bout des doigts
Mon cœur meurtri et plein d'émoi
Que la fumée, emporte loin
Mes yeux qui scrutent tous les recoins
Les larmes en coulent, sans le besoin
Et en souvenir de ton parfum
Mon corps s'écroule sur ton dessin
Quand l'amertume en fait la proie
Quand je me dis qu'il n'y a que toi
Les océans, les mers, me noient
Mon cœur s'habille de désarroi
Du fond de l'eau et de mes mains
Je brise mes liens, et puis soudain
Entend ta voix comme un dauphin
Et sur mon bras, comme un marin
Dessine, ta voie
En m'écriant de vive voix
Que l'âme soit
A tes côtés
A ton chevet
En réunion
Avant
La
Fin
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Écrit par zeste
la vie n'est qu'éphémère nous ne sommes que passagers qu'elle soit bonne qu'elle soit amère il faudrait se partager le pire et le meilleur.
Catégorie : Amitié
Publié le 17/03/2013
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Magnifique merci un plaisir de vous lire |
didoups  |
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Certes ! Mais si c'est autre chose qu'une fiction littéraire, de quoi s'agit-il ? c'est bien inquiétant ! amitié l'ami |
flipote  |
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Je reste circonspect, qu'est-il message qui me fut dit, je ne sus car est-ce vérité, que je ne puis croire tant tristesse est toujours lourde à porter, un bel écrit, amitié poétique tikalo |
tikalo  |
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Une complainte de l'absence bien brossée, dont la chute laisse circonspecte ! Quel est ce mystère, un texte profond ! Merci zeste de nous faire voyager dans ton monde ! Amitié de ANTEROS. |
| ANTEROS |
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Triste et beau, " en souvenir de ton parfum mon corps s'écroule sur ton dessin " Des images qui marquent, mais qui me donnent du souci pour toi. |
| Marouette |
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Il n'y a nulle crainte mes chers amis, c'était la femme imaginaire que j'avais aimée durant mon adolescence et qui ne pouvait m'aimer car lointaine et plus âgée que moi, je l'ai longuement aimée jusqu'au jour où, mon épouse en est jalouse, clin d'?il, un amour imaginaire qui a fait son temps, merci à tous, didoups, flipote, tikalo, ANTEROS et Marouette, mes mes sincères amitiés à vous zeste |
| zeste |
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un poème qui désoriente mais la poésie a tous les droits. |
| amnous |
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merci cher ami amnous, désorienté parfois que je suis ne peut qu'écrire gauche, tous les droits de la poésie, amicalement zeste |
| zeste |
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bel écrit ! merci |
| sylvain.r |
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merci Sylvain.r |
| zeste |
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On te sent très impliqué dans ce poème "mon corps, mon coeur, mon bras, j'aime particulièrement "mon coeur s'habille de désarroi". Et cette fin avec 3 mots à lire séparément est très frappante. C'est très réussi ! Bravo ! |
| Nighty |
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