de ses yeux de précieuses pépites tombent
le chagrin viens une fois de plus choyer
l'enfant perdu sous l'avalanche de bombes
regard hébété horizon déséspéremment noyé
sous les décombres un vieux rêve broyé
un nouvel an frappe de nouveau à sa porte
un regard, un sourire, une main ployée
mais la peur! elle! fabuleusement colporte
la méfiance inébranlable de l'hydre
qui vie en lui depuis sa naissance
désséché du rêve il meurt anhydre
la médisance tue le corpuscule fragile
du petit aède aux fins rêves fossiles
qui pourtant renaîtront à chaque naissance
Écrit par zeste
la vie n'est qu'éphémère nous ne sommes que passagers qu'elle soit bonne qu'elle soit amère il faudrait se partager le pire et le meilleur.
Catégorie : Amitié
Publié le 08/01/2016
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Commentaires
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Posté le 09/01/2016 à 01:12:24
Bonjour, Zeste... Cher ami, c'est un plaisir de vous lire, mais vous me paraissez bien pessimiste dans ces vers qui interpellent vigoureusement le lecteur. Ecrivez-nous vite quelque chose de plus gai S.V.P. Bien cordialement à vous. |
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Mokolo |
Posté le 09/01/2016 à 02:29:58
merci très cher ami Mokolo, un état d'âme qui perdure un peu, je viens de vous écrire un "sonnet!" qui j'espère vous plaira dans le fond... bien à vous... zeste |
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zeste |