A l'ombre qui te dissimule
J'étais les pieds au mur
Dans la retenue de confidence
Bouche barbouillée de mûres
Nos corps se penchent
Où était ce murmure
A nos douces inspirations
Des guêpes à leurs armures
En silence paradoxal
Grand nombre de piqûres
Un pur exercice au service d'un voyage de l'un à l'autre
C'était de bon augure
Aimants par attraction
Jusqu'à la démesure
Langue sous langue
Dans le silence pur
Chair de soie
Sillages sans ratures
De la touche aquatique jusqu'à la lame de fond
Nous remontions pas sûr
L'aura de ton corps berce ma raison
Souples et tendus passé présent futur
A l'ombre qui te dissimule
J'ai fait les pieds au mur
Zénobie d'Ève
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Commentaires
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Posté le 23/06/2011 à 16:20:28
Un merveilleux chant!! ...et qui semble se conjuguer à tous les temps !! Bisous |
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Yuba |