J'ai aimé un ivrogne.
Pas un de ceux qui cognent.
Toujours tendre et farceur
Avec un sourire ravageur.
Mais maintenant c'en est trop
De le voir boire comme un trou.
Explosant son foie d'alcoolo
Il ne réalise pas qu'il est fou.
Mon coeur continue de battre
Alors qu'il s'agit d'un fantôme,
Définitivement pas un vrai homme
Sinon il aurait su combattre.
Ainsi j'ai perdu trois années
A toujours vouloir espérer
Qu'il me préférerait à la bière.
En mon âme se répand un goût amer.
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Écrit par z0line
“La pensée est plus qu'un droit, c'est le souffle même de l'homme.†Victor Hugo
https://www.youtube.com/watch?v=3eMJFuvfaEM Catégorie : Triste
Publié le 12/03/2017
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Commentaires
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Posté le 12/03/2017 à 00:23:24
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Bon courage... J'ai aimé vos rimes. |
suane  |
Posté le 12/03/2017 à 00:42:35
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J'aime bien aussi cette déploration sur un sujet sensible. |
jacou  |
Posté le 12/03/2017 à 13:20:26
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Merci Suane et Jacou |
z0line  |
Posté le 17/03/2017 à 18:06:37
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Superbe... Un triste sujet très bien traité, cela sent, malheureusement, le vécu... Bien à vous |
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