La bise te caresse,
te fais la bise ;
avec tendresse s'immisce,
en toi se glisse.
Cette mélodie du vent
en toi tu la ressens ;
tes sens s'aiguisent
tu es cueillie par surprise.
Non point simple vent,
mais Éole lui-même :
pauvre dieu me jalousant
tes merveilleux "Je t'aime".
Aussi je risque la foudre
pour tes beaux yeux noirs,
mais ne peux me résoudre
à te dire seulement au revoir.
Tromper la Mort
à seuls desseins de te voir
et parcourir ton corps
un dernier jour, un dernier soir.
Par Hélianthème & Z0line
Écrit par z0line
“La pensée est plus qu'un droit, c'est le souffle même de l'homme.†Victor Hugo
https://www.youtube.com/watch?v=3eMJFuvfaEM Catégorie : Duo
Publié le 03/04/2017
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Commentaires
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Posté le 03/04/2017 à 00:26:07
Très savoureux à lecture, surtout le deuxième vers qui ma plu. Bravo. |
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Nelreck |
Posté le 03/04/2017 à 01:10:19
Sympa Nelreck de faire un break sur notre poème. | |
Heliantheme |
Posté le 03/04/2017 à 10:00:51
Douce sensualité qui s'immisce en nous à la lecture... Encore un agréable duo ! | |
jacou |
Posté le 03/04/2017 à 11:55:50
Nous sommes attendus désormais : z0line nous n'avons pas droit à l'erreur. | |
Heliantheme |
Posté le 03/04/2017 à 23:26:17
Un écrit agréable à lire, j'ai aimé particulièrement la quatrième strophe. | |
suane |
Posté le 06/04/2017 à 05:52:42
Merci suane pour ton passage. | |
Heliantheme |
Commentaires
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