Quand tu as baissé tes paupières,
Avec tristesse j'ai vite compris,
Que malgré toute mes prières,
Notre amour était bien fini.
-
Tu as ainsi éteint la lumière,
Fermé la porte à double tour,
Et dressé un gros mur de pierre,
Pour affamer tout mon amour.
-
Tu m'as laissé au fond d'un gouffre,
Pour un voyage sans retour,
Abandonné pour que je souffre,
Éteint un à un tous mes jours.
-
Et depuis ce n'est que silence,
Je sais que tu es avec lui.
Mon corps s'épuise par ton absence
Et sans toi ma vie n'est qu'ennui.
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Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Triste
Publié le 14/04/2011
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Commentaires
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Posté le 14/04/2011 à 08:53:12
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C'est bien exprimé mais c'est dur. Ne perds pas courage, tu apprendras à te passer d'elle comme avant de la connaître et un jour tu iras mieux. En attendant, ça te fait écrire de belles choses. Marouette |
Marouette  |
Posté le 14/04/2011 à 08:55:40
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rupture douloureuse ne sera plus que souvenir, d'autres bras saurons te retenir. bon courage |
| philomène |
Posté le 14/04/2011 à 12:49:24
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tres touchant "sans toi ma vie nest quennui" |
| angelique |
Posté le 14/04/2011 à 13:18:37
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Réussi comme texte. |
eric  |
Posté le 14/04/2011 à 19:04:11
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Les blessures ne disparaissent jamais mais la douleur fini toujours par s'atténuer .... Courage et patience .... |
| Sandysun |
Posté le 14/04/2011 à 20:01:41
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Chaque jour se lève et se couche, adoucissant nos douleurs même si l'oubli jamais ne s'éteint ! amicalement Louann |
| louann |
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