Pardon.
Le vieillard songe.
En lui tant de flasques attitudes.
Le sourire ironique n'a rien compris,
Il vole lointain et pur de tant de souvenirs.
J'aime.
Feu follet étrange et débordant,
Les cicindèles initiées et ravies,
Qui rient et qui se tordent,
Fondements sans raison d'attitude feinte.
J'ai tort.
Le lointain accablé raconte des histoires,
Une baignoire fuit,
Tristes agonies,
La lente corrosion commence,
Les os cèdent et remercient la tenaille.
L'enfer un instant refroidi se réchauffe,
Le pauvre vieillard songe,
A tout ce dérangement,
Que sa mort commence à provoquer
Alors timide et pas exigeant,
Il décide qu'il vivra mille ans
Et il tint parole.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Triste
Publié le 26/03/2011
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Commentaires
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Posté le 26/03/2011 à 14:49:47
bonjour virgile, j'ai fait une belle lecture, tant par le fond que par la forme, la fin m'a beaucoup plus ... à très bientôt |
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marie-ange_old2 |
Posté le 26/03/2011 à 16:16:22
très joli poème | |
angelique |