Ils s'insinuent, dans l'air humide,
Ces vieux parfums qui n'ont plus cours
Et l'amour des femmes frigides,
Est comme un appel au secours.
La nuit, soudain, paraît bien prude,
Cachant celle qui se maquille.
Le corps flétri que l'on dénude,
A des sursauts de vieille-fille.
L'envie devient un vieux crouton,
Le temps trop long creuse les rides
Et la soie se froisse en coton,
Sur les visages trop livides.
Souvent l'ennui ronge nos jours,
Les paroles dans notre bouche,
Sont tous des mots de désamour,
Des larmes dans des yeux qui louchent.
Virgile.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Triste
Publié le 31/01/2021
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Commentaires
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Posté le 31/01/2021 à 08:11:45
Posté le 31/01/2021 à 08:39:02
Merci Justine. | |
virgile |
Posté le 31/01/2021 à 09:24:53
Posté le 31/01/2021 à 13:19:11
Merci pour le mp3, Justine. | |
virgile |
Posté le 31/01/2021 à 16:46:37
j'aime bien ton avatar | |
justine |
Posté le 31/01/2021 à 17:22:40
Les mots de désamour sont ceux de votre poème et touchent droit au coeur, bravo. | |
Etienne de Mirage |
Commentaires
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