Le temps s'égrène,
Sans certitude,
J'ai de la peine,
Comme d'habitude.
Son cœur qui bat,
Sur ma poitrine,
Est un combat,
Que je devine.
Ses mots fabriquent,
Tous mes tourments,
Les yeux me piquent,
Quand elle me ment.
Heures rescapées,
Je vous devine,
Comme des poupées,
Dans une vitrine.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Triste
Publié le 16/10/2017
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Commentaires
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Posté le 16/10/2017 à 15:35:26
Très joli. :-) |
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Iloa Mys |
Posté le 16/10/2017 à 18:07:12
Un poème bâti simplement et qui en dit beaucoup. Merci pour cette lecture agréable. | |
jacou |
Posté le 16/10/2017 à 19:15:27
Mon genre de poèmes préférés ! | |
Galerion |
Posté le 17/10/2017 à 00:59:33
La poésie la plus simple est la plus jolie. Merci. | |
suane |