Sous le soleil, l'été,
Repart on ne sait où
Et avant d'arriver,
L'automne tue le mois d'Août.
Septembre hésite encore,
Les feuilles sont presque vertes,
Il les aime rouges et ors
Et de mousses couvertes.
Octobre sans se presser,
Dans les cieux toujours gris,
Amasse les nuées,
Sur les prés défleuris.
Novembre est bien assis,
Sur les troncs qui s'ennuient,
Bien des sols sont durcis,
Par le gel de la nuit.
Décembre prépare les fêtes,
Il commande les grêlons,
Qui cabossent les têtes
Et tondent le gazon.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Triste
Publié le 22/10/2016
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Commentaires
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Posté le 22/10/2016 à 23:05:55
Voici un portrait lyrique et amusant sur sa fin de notre saison d'automne toujours égale à elle-même, d'année en année. Finesse et humour pour un bon poème léger et pétillant de malice ! | |
jacou |
Posté le 23/10/2016 à 19:15:01
C'est très joli. :-) |
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Iloa Mys |
Posté le 26/10/2016 à 15:29:39
Ça m'a plu. | |
Intruder |