Dans ses yeux entrouverts,
Il n'y avait plus d'étoiles,
Quelques vieux souvenirs,
S'attardaient en silence.
Elle fermait ses paupières,
Mais elle voyait encore,
Ces traces du passé,
Des navires engloutis.
Que d'années ont passé,
L'oubli n'a pu rien faire
Et son voile terni,
N'a pu les effacer.
Moi, je navigue en elle,
Evitant les écueils,
Mais ses bonheurs perdus,
Font couler mon radeau…
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Triste
Publié le 06/09/2015
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de virgile au hasard |
Commentaires
Annonces Google |