J'ai su que tu partais pour un très long voyage,
J'espérais, avec toi, revoir le paysage.
La nature était belle, charmante tu étais.
Ta bouche qui sentait les parfums les plus frais,
Disait « adieu l'ami, je suis les hirondelles,
Je m'en-vais, je m'enfuis, je m'envole avec elles. »
J'ai envié le ciel bleu qui t'avait accueillie
Et je devins jaloux de tes libres amies.
Avec elles tu volas vers les pays d'Afrique,
Où les djembés* lançaient leurs plaintes faméliques.
Virgile.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Fantastique/Sf
Publié le 24/05/2019
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Fantastique/Sf à découvrir... | Poèmes de virgile au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 24/05/2019 à 11:04:49
Très joli ce poème un brin jaloux... il y a de l'amour dans l'air. Merci Virgile | |
grêle |
Posté le 24/05/2019 à 12:51:01
L' Hirondelle a eu raison de suivre ses sœurs dans les airs ... Merci Virgile pour ce poème à la sublime lumière ! |
|
Yuba |
Posté le 24/05/2019 à 15:53:56
Ah l'Afrique... C'est un voyage auquel vous nous conviez, est-il réel pourtant ou inscrit dans l'univers de la fantasy, puisque vous l'avez placé dans la catégorie de l'imaginaire...? Toujours est-il que j'y ai lu un souvenir d'amour en plus de l'invitation à décoller... | |
jacou |