Comme mon bonheur défile,
Quand tu es loin de moi,
Quand planent sur la ville,
Les rumeurs d'autrefois.
A chaque coin de rue,
Un parfum, une brise,
Un souvenir ému,
M'enveloppent et me grisent.
Il est où ce jardin,
Perdu dans les quartiers,
Où tu as pris ma main,
Pour ton premier baiser.
Les années, des poussières,
A jamais envolées,
Ont éteint les lumières,
Des amours surannées.
J'ai gardé dans ma bouche,
Le goût de tes baisers
Et sous mes reins, la couche,
Où nous nous sommes aimés.
Virgile.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 02/10/2012
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Commentaires
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Posté le 11/11/2012 à 03:57:42
Très joli poème Virgile ! Je dirais même que c'est un chant, un chant d'amour. |
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