Pourquoi ce vent fripon,
Ce matin là si doux,
Montra, joli démon,
Le galbe de tes genoux?
-
Puis il a soufflé fort,
Alors j'ai vu l'esquisse,
Ho ce joli trésor,
De l'ombre de ta cuisse.
-
Mais aussi, j'ai pu voir,
C'est vrai, je le confesse,
Oui, comme dans un miroir,
L'arrondi de tes fesses.
-
Et même, j'ai contemplé,
Quelle douce, émotion,
Ce sombre champ de blé,
Ton triangle de vison.
-
Ta jupe est retombée,
En moi, reste l'ivresse,
D'une image dérobée,
Un soupçon de tendresse.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 05/05/2011
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Commentaires
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Posté le 05/05/2011 à 09:46:43
Fripon... | |
eric |
Posté le 05/05/2011 à 15:33:01
Que du désir, et un plaisir de te lire. | |
singe vert |
Posté le 05/05/2011 à 18:11:24
un vent que j'aime... | |
ulysse |
Posté le 05/05/2011 à 18:23:20
elle portais pas de culotte ? | |
philomène |
Posté le 05/05/2011 à 22:53:25
Non ! | |
virgile |
Posté le 06/05/2011 à 07:42:43
Depuis que les filles mettent des pantalons le petit vent n'a plus d'effet . Nous sommes frustrés . Vite une loi pour le retour des minijupes. | |
TANGO |
Commentaires
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