Ce n'était que pâle guimauve
Et amourette couverte de miel,
Une panoplie de bonbons mauves
Et de cœurs flottant dans le ciel.
.
Tes paroles avaient la douceur,
De cette crème paresseuse,
Et tes joues prenaient la couleur,
D'une boisson bien sirupeuse.
.
Tes regards, comme îles flottantes,
Naviguaient sur le chocolat
Et tes mots en fleurs odorantes,
Avaient le goût d'un hydrolat.*
.
Tes fesses, en cibles mouvantes,
Attiraient comme des amandines
Et tes seins en billes géantes,
Etaient de douces grenadines.
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*hydrolat (nom masculin):
Liqueur incolore qu'on obtient en distillant de l'eau sur des fleurs odorantes ou des substances aromatiques.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 17/04/2011
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Commentaires
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Posté le 17/04/2011 à 10:29:21
J'aime bien ton style affriolant et fleur bleue.... Merci et bonne journée... |
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kimidoll |
Posté le 17/04/2011 à 11:00:49
Un tendre et joli poème sucré à souhait ! amicalement Louann |
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louann |
Posté le 17/04/2011 à 13:44:48
Un poème à déguster ! J'aime beaucoup ! A lire et relire ! Bravo | |
Ys |