Mes yeux sculptaient son corps
Et mes mains regardaient
Mes narines entendaient les humeurs de son âme
Mes oreilles affamées humaient son doux parfum
Et ma peau vibrait en l ‘écoutant sourire
Méli-mélo des sens en sa seule présence
Ses regards mentaient suant de vérité
J'ai décroché la lune en frôlant ses racines
J'ai voulu caresser son aspect capricieux
Et j'ai senti sa glace brûler en apaisant
Ce froid enfer moulant un amour déjà mort.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 14/02/2011
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Commentaires
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Posté le 14/02/2011 à 11:17:04
c'est d'une élégance ! et d'une tristesse ! bien joli ce texte | |
philomène |