Les jours s'embrouillent,
En noir et blanc.
Les clous du banc,
S'ennuient et rouillent.
Le vent malin,
Projette les glands,
Sur les auvents,
Des vieux jardins.
Comme par hasard,
Dans une allée,
Evaporés,
Sont tes regards.
Il y a longtemps,
Soir et matin,
Dans ce jardin,
Que je t'attends.
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Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 19/10/2017
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Commentaires
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Posté le 19/10/2017 à 15:37:37
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Quelques notes qui tintent et quelques teintes qui annotent, jolie orchestration. |
jacou  |
Posté le 19/10/2017 à 17:00:11
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Une mélodie mélancolique très jolie. Merci. |
Iloa Mys  |
Posté le 19/10/2017 à 17:44:29
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Le jardin c'est mon domaine, mais moi j'ai d'autres rendez-vous, C'est très joli. |
| lefebvre |
Posté le 19/10/2017 à 19:35:49
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"Les vapeurs de l'âme "...c'est cela aussi une attente ,un regard Un jour ou l'autre... Merveilleux poème ** |
| MARIE L. |
Posté le 19/10/2017 à 21:56:52
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Dans ces vieux jardins, une attente impatiente et passionnée, c'est joli tout plein ! |
| suane |
Posté le 21/10/2017 à 21:43:55
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J'aime trouver des jardins dans la poésie et suis toujours sûre de trouver de la poésie dans les jardins. Et là où il y a de la poésie et des jardins, l'amour n'est jamais loin. J'ai goûté ce poème délicat qui est si évocateur et si simple. |
| November |
Posté le 11/04/2018 à 05:28:22
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Tres beau poeme. |
| eau2roche |
Commentaires
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