Elle regardait la flamme.
A sa mère elle pensait.
Sa vie, canot sans rame,
Frêle esquif, chavirait.
§
Mais ma maman chérie,
Je l'attends ton retour,
Sans toi je me flétris
Et je crie au-secours !
Je promets d'être sage,
Ma chambre est bien rangée,
Je suis grande pour mon âge
Et je sais cuisiner.
Papa fait de son mieux,
Il ne parle pas beaucoup,
Et parfois de ses yeux,
Des larmes coulent sur mes joues.
Maman, reviens, reviens !
Ce sera mon cadeau
Et pour toi, je veux bien,
Porter mon vieux manteau.
Dans mon lit, au coucher,
Je prie et comme avant,
Je voudrais retrouver,
Tes bisous, ma maman.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 11/11/2015
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Commentaires
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Posté le 12/11/2015 à 09:20:04
Si tendre si beau... | |
MARIE L. |