C'est la nuit,
Tes yeux gris,
Comme l'ennui,
M'ont tout pris.
Ton regard,
S'est enfui,
Quai de gare,
A minuit.
Assis, seul,
Je diverge,
Je péris,
Sur la berge.
Sur le banc,
Sous la pluie,
Tout mon sang,
S'est réduit.
Ton oubli,
Ta valise
Et je crie,
Sans ta bise.
Sur ma joue,
Ton odeur,
Mais ta moue,
M'a fait peur.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 08/02/2015
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Commentaires
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Posté le 08/02/2015 à 13:27:36
bel écrit! | |
eternal |
Posté le 08/02/2015 à 15:13:07
Trop simple. | |
Intruder |
Posté le 08/02/2015 à 17:23:05
J'aime,çà a le mérite d'être clair et concis. | |
TANGO |