Le jour est lavé par les pluies, je viens sur ton trottoir
Où dorment des enfants sous les soleils
Je retiens mes soupirs pour ne pas qu'ils se réveillent
À l'horizon vole un oiseau qui porte le soir.
Derrière un voile tu gesticules
Et mon cœur bat comme une pendule
Je compte les heures où tu déambules
Comme une mouche ridicule.
Il y a comme un bruit sur une odeur
Quand je t'imagine, bonheur
Et j'attrape mon brave cœur
Qui grave ton image dans un pleur.
Je sais tes cauchemars quand tu allumes une bougie
Tu danses sur le mur de ta chambre
Comme une danseuse folle qui ondule ses membres
Puis tombe dans une atmosphère rougie.
Écrit par veilleurdenuit
advienne que voudra!
Catégorie : Amour
Publié le 21/05/2010
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Commentaires
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Posté le 22/05/2010 à 09:05:34
transporté par ton poème * amitié! |
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MARIE L. |
Posté le 22/05/2010 à 09:51:37
Quel bel écrit, et ce regard que tu poses...Entre admiration et mélancolie ! amitiés Louann |
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louann |
Posté le 22/05/2010 à 10:10:27
un regard langoureux bien beau ..... Amitié Anabel | |
LA RAGE AU COEUR |