J'ai percé les capsules qu'a perdu le temps
Au rotin brûlé des cailloux. Les paillassons de mousse.
aux oraisons des horizons
piqués de foins,
et la jambe folle qui caresse la pelouse.
J'avais faim de tes baisers
d'un grain de brousse de ta sueur.
La lumière des vieilles lunes.
Tes divines.
Un chagrin qui les pieds dans l'eau traverse une écume.
Partir où mon cœur me trousse, le paradis interdit des rêves. Les fumées et le regrets qui fuient entre une dune et la chaumière d'une fée. Le monde se monte d'idoles de gravier où s'accouchent des coccinelles. Le temps perdu en bulle. Le monde comme une trace se termine comme fin sur mon oreiller
Je ne terminerai pas dans mon humeur
Bellâtre
je t'aime comme un mendiant
ivre de survie
amour naissant, amour mourant, que vienne ton temps
Ô mon alentour.
Sous la nuit viens! Respirer au regards des fenêtres
Quand commence notre monde soue le feux des planètes
la nuit seuls on se garde pour ne pas se tuer.
Écrit par veilleurdenuit
advienne que voudra!
Catégorie : Amitié
Publié le 14/12/2017
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une planète est un corps non lumineux hors une étoile est un corps céleste qui rayonne de la lumière quoique certains mettent le feu à la terre quant à la mettre sur Mars... bref sinon la nuit notre fantôme nous cautionne avec un boulet à chaque pied pelouse ou bitume pour dire que je ne sais pas où tu veux nous emmmener si c'est là ou de l'autre côté histoire de gravité et d'amour le tout c'est que les piles « dur a celle...» |
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James Px |