La plage me promène
Pour me laisser admirer
Les merveilles du monde
La mer ne me camoufle
Le bleu de son calme
Les plis de son jupon blanc
Et le petit nuage gris
Se vient d'une bise
Draguer son charme infini
De son œil qui la caresse
Les beaux enfants passionnés
Réalisent les châteaux de sable
De leurs rêves les plus fous
Le soleil les taquine amoureux
D'un baiser sur leur peau dorée
Les amoureux étalent heureux
Le tapis brûlant de leur amour
Leurs peaux se glissent éprises
L'une contre l'autre et se bisent
Et leurs orteils se content
Des jeux où l'on parle folie
Il est venu l'heure où je vis
Avant que ne vienne le temps
Quand je m'allongerai rêveur
Sur la couche de mes songes
Mais je sais, je laisserai au dehors
Toutes ces beautés admirées
Car en cette nuit j'éloignerai
Au dehors toutes ces merveilles
Pour garder au fond de mon cœur
Le plus beau, le plus merveilleux
Car il est toit, mon aimée toi seule
Qui peut m'offrir ce rêve sublime
☼ƑƇ
Écrit par tikalo
je vais par vos hameaux cueillir vos mots et vous les rendre bouquets toujours plus beaux
Catégorie : Amitié
Publié le 29/10/2013
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Tant de romantisme ! Belle paroles, j'aime beaucoup ! Bonne continuation, Sophia |
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Sophia |
Je cite: "La plage me promène" "Il est venu l'heure où je vis Avant que ne vienne le temps" Sublimes vers ! Je ne sais pas si le Il à la place de Elle pour "Il est venu l'heure où je vis" est volontaire, mais ça ne choque pas du tout, c'est même très beau : quelqu'un est donc venu au bon moment, à l'heure où tu vis pleinement ! Génial ! |
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remedios |
J'aime beaucoup. Surtout la deuxième strophe et "leurs orteils se content des jeux où l'on parle folie". C'est solaire, sensuel, précieux et nostalgique à la fois. | |
Marouette |