On se caille les roustons !
On est bientôt en juin, et la température
Nous oblige à porter encore des pull-overs,
Sans vouloir déconner, notre planète Terre,
Est-elle déboussolée, et la Dame Nature,
Courroucée elle aussi ne tournerait plus rond…
Allons-nous affronter le mois d'aout aux tisons ?
Il fait froid et il pleut, c'est partout la grisaille,
Le soleil fait faux bond, aux abonnés absents,
Le moral est en berne, ça devient inquiétant,
Et notre chair de poule ne nous dit rien qui vaille !
Le baromètre affiche des chiffres désolants,
Et cette humidité n'a vraiment pas de cesse :
Sans mon caleçon long, je me gèle les fesses,
Reverrons-nous un jour l'été de nos vingt ans ?
On rêve de bronzer, à poil sur la terrasse,
Un verre de téquila, avec quelques glaçons,
Suant, et transpirant, ah ! que ce serait bon :
Tintin, au lieu de ça, on a la goutte au nez !
On en a plein le dos de vivre calfeutré :
Nom de Zeus, Flanby, il faut faire quelque chose,
Si tu veux nous faire voir un peu la vie en rose !
(Acrostiche)
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quand il fait un froid de canard on a la chair de poule. | |
amnous |
L'hiver été froid L'été se chauffe près du bois Et le printemps s'étonne Il devient atone, monotone Et presque automne ! Amicalement et même si ça détonne |
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zeste |
Si j'ai tout compris, il n'y a que les femmes qui sont épargnées ! Bon, encore un acrostiche bien imaginé. |
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