Du haut de ma tour, je vois ce qui se passe.
Le monde s'agite. Petites Fourmies pressées,
Des heures, à les regarder, je ne me lasse.
Elles vont et viennent, comme téléguidées,
Dans les rues et avenues qui s'entrelacent.
Couleurs bariolées, regards non échangés,
Voyez ! Les unes sourient, les autres s'agacent.
Pourraient-elles sinon, chasser leurs démêlés ?
Idées, pensées, sentiments, souvenirs fugaces !
Elles ne sont pas au ralenti, tout est tronqué.
Ainsi, le monde les noie, dans sa mélasse.
Petites Fourmies, arrêtez, arrêtez, arrêtez ……..
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Commentaires
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Posté le 12/12/2011 à 06:55:25
Petites fourmis laborieuses qui vaquent à leurs occupations sans se douter qu'elles sont observées . J'ai aimé ce regard simple que tu portes sur la vie de nos concitoyens. | |
TANGO |
Posté le 12/12/2011 à 15:05:54
L'esclavage moderne. Oui c'est cela la vie ! | |
singer64 |
Posté le 15/12/2011 à 18:12:07
J'ai beaucoup aimé vos petites fourmis. Elles sont bien dépeintes dans votre poème : on dirait des usagères du métro ? | |
MarieVenture |