Ma vie m'échappe comme un vent tourbillonnant.
Le sable d'or dans ma main, glisse entre mes doigts.
Le sang glacé dans mon cœur bouillonne tel un torrent.
Sur mon corps, vient se poser le feu sacré de la croix.
Le film se déroule à l'envers, à la vitesse du temps,
Pour aller se finir je ne sais ou ; pour aller vers quoi ?
Des portes entre- ouvertes, se dérobent mes sentiments,
Virevoltant, comme une pluie d'étoiles d'acier froid,
Pour aller doucement, se poser vers cette main qu'elle me tend.
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Commentaires
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Posté le 07/03/2012 à 09:14:22
tant qu'il y aura une maint tendue il n'y aura pas le vide amant | |
p'tite fée |