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Que se passe -t-il je te trouve bizarre ?
depuis quelques jours tu es comme absente,
et puis hier tu me demandes lit à part,
Comme préoccupée par une pensée obsédante !
tu as un air buté ce soir
et me demandes de m'asseoir
de choses sérieuses tu dis vouloir me parler
tournant en rond ne sachant par ou commencer
j ai peur de ce que tu vas me dire
mes mains sont moites, mes genoux tremblent
Comme j ai mal et voudrais mourir !
vient l'enfer plutôt que de t'entendre
attends je t'en prie surtout ne dis rien
réfléchie avant que ne se séparent nos destins
ferme les yeux, laisse-moi t expliquer
Te souviens tu des premières rencontres ?
Des doux moments, des tendres baisers ?
du déchirement quand nous regardions nos montres,
de l attente en l'espoir du lendemain
Nos retrouvailles au bout du chemin.
bien sur ! le temps ensuite a lentement défilé
le train train l'habitude est venu s'installer
alors vint les moments des reproches, des disputes,
Les années passent arrivent les doutes.
Non-écoutes encore par pitié laisse- moi finir
toujours pourtant je t'aime et, veux te chérir
Et, malgré tout ce que tu peux penser
au grand jamais je n'ai cessé de t'aimer
mais si de cet amour, de ce beau passé
le présent ne peut te faire oublier
j'accepte que ton prochain avenir
Sois sans moi dans ton souvenir.
mes yeux se lèvent, vers ton visage baissé
j'aperçois des larmes qui lentement ont coulé
tes paupières battent, puis, s'ouvrent tes yeux
de cet éclat si particulier, d'un si beau bleu
ta bouche s'ouvre, tes lèvres frémissent
voilà que tu parles, les mots me grisent
mon chéri, mon homme, mon grand
de plaisir je pleure, je t'aime tant
pour moi aussi la montre c est arrêtée
à l instant ou j'ai su que tu m'aimais
il est vrai que le temps c'est écoulé
mais à l'amour la tendresse c est ajoutée
avec délice je bois ton désespoir
les doutes en toi me font croire
Que l amour que je t'ai confié !
dans le coffre de ton cœur était bien gardé
maintenant il me faut t'avouer
Que vers un autre vont toutes mes pensées !
mon cœur est désormais partagé
un homme de mon corps c'est emparé
désormais nous serons trois
Car bientôt tu vas être papa !!!
Écrit par roger1951
Le poète doit faire pitié
Il doit aussi faire pleurer Jamais le poète ne doit faire rire Ni même prêter à sourire Car ce qui est un poème Deviens pour beaucoup un blasphème Catégorie : Amour
Publié le 05/11/2007
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petit polisson, va!: la frayeur que tu nous fais!. hmmm!, pan-pan cucul!!??. lol, ravie de cette heureuse nouvelle pour toi!. (plus jamais de frayeurs comme ca à mon réveil!, ok l'affreux?! lool). amitiés.... |
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mamarinne |