Besoin de peu, besoin de rien
Deux contre deux, sur le terrain
Un populaire jeu de malice
Rend la misère fédératrice
Tant de canettes, et tant de sphères
Comme tant d'honnêtes joies éphémères
Depuis Rio de Janeiro
Jusqu'aux bureaux occidentaux
L'odeur du sable, ou du gazon
Irremplaçable sensation
Drôle de misère, drôle de passion
Pour un parterre et un ballon
Des bien-pensants comme des critiques
Je plains les plans systématiques
Leur négligence n'est que l'aigreur
De l'ignorance de la ferveur.
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Commentaires
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Posté le 08/01/2009 à 08:36:21
Joli poème mais je ne connais rien au foot, et n'adhère pas à cette ferveur ! ignorante sans doute... Amitiés Louann |
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louann |