Un jour de rosée perlée d'espoir niché
Au fond de mon cœur trop longtemps désabusé
Une chandelle de lumière tamisant l'espoir
De renaître sans une grisaille du soir
Une lumière imposée par la nécessité de survivre
Que je cueille pour ne pas me rendre ivre
De mes noirceurs lugubres qui parfois m'assaillent
Comme une tenture de piètre grisaille
Le jour renaît et avec lui l'espérance
De pouvoir toujours recueillir une chance
De me voir m'accomplir dans ma propre destinée
Ne jamais faillir au devoir d'aimer
Un combat mené sans arrêt à l'orée des souffrances
Comme une ronde de folles cadences
Imposée par la vie et ses circonstances
Et par la volonté de ne dépérir en offense
Ici revient enfin le cours de ce fleuve
Nommé désir de vivre dont je m'abreuve
Où les couleurs d'un arc en ciel voilé
Vient me retenir pour ne pas faner
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J'aimes beaucoup tes vers, et particulièrement ici, ce fleuve nommé "désir de vivre" | |
coramouh |
Lorsque le tramway se fait fleuve ... Un peu de Blanc sur ces noirceurs. |
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viola |
Un combat qui s'effectue tout doucement ...un peu plus chaque jour...je m'y reconnais ...merci poétesse ! Bisous |
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Yuba |
Bah...Seul le jour peut combattre la nuit...et vice versa... Je t'embrasse et merci de garder espoir car il te rend belle. |
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Iloa |
très beau poème, ruisselant de vie et d'espoir. | |
singe vert |